TENUE & CHEVEUX ☽ franchement, tu sais pas trop ce qui te passionne dans la vie. Secourir la veuve et l'orphelin ou alors belle demoiselle en détresse, surtout quand elle se prénomme Mami. Ta « sugar baby » depuis ton arrivée au Japon, disons que maintenant vous vous comportez comme cul et chemise. Et aujourd'hui davantage. Parce que oui, mise à part la voir pour passer du bon temps, tu l'aide aussi à ne pas dormir dans la rue. Aussi, tu as décidé de l'héberger chez toi. Toi qui ne cherche pas d'engagement ou de voir très fréquemment les personnes avec qui tu te paies du bons temps, tu permets de sauter une étape. Vous montez tous les deux et sans raisons aucune tu te met à lui attraper le poignet. Dans le silence, tu ouvres la porte de ton appartement et la laisse entrer en première. Tes yeux la jauge doucement du regard avant de fermer derrière toi. on a vite fait le tour du proprio mais en soit, c'est plutôt pas mal j't'avoue. tu peux poser tes affaires sur le sofa. tu la laisse prendre un peu ses marques et pars dans la cuisine lui offrant ... une bière parce que c'est seulement ça que tu as dans ton frigo. Un soupire accompagne le bruit de la canette que tu ouvres avant de revenir vers elle. tu m'dis quand t'as faim, je mange pas le soir donc ça dépend seulement de toi. l'annuaire et posé sur la table basse sinon... on peu se faire un restau si tu veux.
Un large sourire se dessine sur tes lèvres, mécaniquement ou alors de façon très naturelle, tu passes tes mains dans ses cheveux les ébouriffant légèrement parce que bon, faudrait pas décoiffer mademoiselle que maintenant. puis si t'as besoin de quelques choses, hésite pas! tes épaules se haussant accompagne tes paroles une fois que tu t'assois sur le canapé en soufflant un soupire de soulagement. Enfin t'es surtout excédé par tout ça. Tu sors une cigarette de ton paquet et pose ce dernier sur la table basse pour que Mami se serve par elle-même. Quelques cliquetis plus tard avec la roulette du briquet, tu extirpes la fumée d'entre des dents, plongeant ton regard un peu dans le vague.

TENUE ☽   des ruines.
c'est tout ce que t'as trouvé quand t'es retournée chez toi après la secousse. ton immeuble déjà trop délabré était à moitié effondré, pas assez pour t'empêcher d'accéder à ton appart et sauver une grande partie de tes affaires mais suffisamment pour comprendre qu'il n'est plus possible d'y vivre. tu te retrouves donc à la rue pour la... combientième fois déjà ? tu ne sais plus, t'as arrêté de compter après la cinquième.
heureusement que jooheon était là pour te sauver, comme toujours t'as envie de dire. il ne t'a fallu que le temps de ramasser tes affaires qui ont survécu au désastre pour te trouver une nouvelle maison, c'est-à-dire chez lui. toi qui serait d'habitude surexcitée, tu te contentes de le suivre vers son domicile silencieusement, tellement exténuée par les événements que tout ce que t'attends c'est d'avoir un nouveau lit - ou autre surface vaguement horizontale - sur lequel t'affaler. c'est l'arrivée à l'appartement tant attendue qui t'arrache enfin un soupir de soulagement et tu t'accoutumes très rapidement à l'ambiance des lieux, qui contraste agréablement avec le chaos qui règne à l'extérieur. balançant ton sac sur le sofa dès que jooheon le te suggère, tu attrapes la canette qu'il te tend sans hésitation et commences à en boire aussitôt. tu crèves la dalle après tout ça mais tu t'en contenteras pour l'instant, un peu d'alcool ne peut te faire que du bien. « c'est super sympa chez toi. tu vis tout seul ici ? c'est pas un peu grand ? » peut-être pas spécialement, mais comparé au 10m² où tu vivais c'est nettement plus spacieux.  
docilement, tu te laisses ébouriffer les cheveux par jooheon. le geste t'arrache même un sourire enfantin et visiblement ravi ; les interactions entre vous deux ne sont pas toujours tendres - et tu ne t'en plains pas - alors quand elles le sont, ça ne te laisse pas indifférente. « on pourra aller chercher quelque chose plus tard mais pour l'instant j'ai qu'une seule envie, c'est de me reposer. » et sans plus attendre, tu finis ta canette d'un trait et la balances sur la table pour te jeter à ton tour sur le canapé, ta tête s'installant presque aussitôt sur les cuisses de ton daddy. « c'est fatigant tout ça, putain. en plus avec le bordel j'suis sûre que le taux de crime va exploser et je vais encore devoir faire le ménage dans les rues. ça m'dépasse tout ça ! » rares sont les choses que tu prends au sérieux dans la vie, ton rôle de justicière en fait évidemment partie et tu comptes retourner patrouiller les rues mal famées de la capitale dès que tu te seras reposée un peu, mais rien qu'y penser t'exténue et tu soupires profondément comme si le poids du monde entier te repose dessus. « j'espère que t'as prévu un truc pour m'aider à me détendre parce que là c'est plus possible ! »

TENUE & CHEVEUX ☽ toi et mami ont des rapports plus qu''étroit (sans jeu de mots) alors la voir s'installer confortablement la tête sur tes genoux ne te perturbes pas tant que ça. au contraire, tu y dépose assez méchaniquement ta main dans la jungle des cheveux et y dépose de légères tendresses en l'écoutant déblatérer sa vie de justicière nocturne. le crime ne connait pas le repos ainsi mami aussi et ça tu l'a plutôt bien assimilé. ses dernières paroles te font doucement sourire. bah oui, avec un tel esprit tordus les paroles de la douce mami te font vite oublier que t'es fatigué. un haussement de sourcil et tu lui réponds sur un ton calme ah. bah moi qui voulait te proposer un peu de piment dans tout ça... mais j'comprend j'comprend, ta maison est ensevelis sous les décombres, t'es k.o tout ça... tu tapotes le haut de son crane en tirant doucement ses mèches pour lui dégager son visage. te penchant lentement tu lui souris avec un petit clin d'oeil. je vis tout seul oui. comme tu le sais, je me suis brouillé avec la plus part de ma famille et les petites-amies pour moi c'est pas trop mon fort alors... voilà! c'est grand mais c'est cool quand il y a certaines personnes qui n'ont plus de chez soit et qui cherche un habitat, tu crois pas? tu aime la tranquilité, être seul dans un si vaste appartement peut en effrayer plus d'un mais toi tu préfère ça que l'appartement où lorsque tu te retournes et que tu es dans ta chambre, tu te retrouve vite en face de ta kitchenette.
et d'ailleurs ce qui te semble bien étrange aujourd'hui, ou plutôt ce soir, c'est bien que tu ais invité mami à vivre avec toi. toi qui aime te retrouver seul de temps en temps... peut-être qu'insciemment et en face d'elle, tu finis par changer. en même temps dire non à mami serait un peu comme renoncer à ta vie un peu particulière de sugar daddy. tu soursi et pose ta tête sur le dos du canapé en t'enfonçant un peu plus. question qui peut paraitre un peu conne... pas besoin de t'installer une chambre, non?

j'te love:

TENUE ☽ moment de quiétude après tout le bordel qui a eu lieu. ta tête sur les cuisses de jooheon, et soudainement toutes les merdes qui viennent de t'arriver paraissent distantes, ensevelies sous la sensation relaxante que te procure sa main dans tes cheveux. tu laisses s'échapper un soupir profondément las, exprimant ta fatigue quant à tout ce qui vient de se passer même si, installée comme ça, tu ne ressens plus que de la paix. « ah bah ok, sympa la compassion, on voit tout de suite tes priorités ! » réponds-tu d'un air taquin. cela dit il y a une part de vérité à ce que tu dis, avec jooheon, ses priorités se trouvent rarement ailleurs qu'entre ses jambes, du moins c'est ce que tu as déduit au vu de votre relation.
« hmm j'avoue, c'est nettement mieux comme ça. si j'avais su je serais venue squatter y'a longtemps. » sans domicile ou pas, tu adores t'inviter chez les gens et faire comme chez toi. faut dire que n'importe où serait mieux que le trou du cul qui te servait de maison avant, puis au moins t'as pas à cuisiner quand tu vas chez les autres. même si tu penses pas pouvoir compter sur jooheon sur ce côté, mais de toute façon ça t'importe peu tant que t'as un toit sur la tête - et le jeune homme à tes côtés.
tu te redresses subitement pour éviter de t'endormir, tes yeux larmoyant lorsque tu tentes de réprimer un bâillement. « bah, si ça te dérange pas que je squatte la tienne, j'en vois pas l'intérêt non. » tu t'étires afin de débarrasser tes os de la fatigue qui leur pèse dessus. « tiens, maintenant que j'y pense... » tu te tournes vers jooheon, posant une main sur sa cuisse. « je risque de passer un bon moment ici, vu que j'ai nulle part où aller et sûrement pas les moyens de louer un autre appart' avant des siècles. enfin sauf si tu décides de payer le loyer pour moi, mais je crois que t'apprécies trop ma compagnie pour faire ça. » tu te mords la lèvre inférieure entre deux phrases tandis que ta main caresse tendrement sa cuisse. « bref, je pense que je devrais te remercier pour ça mais peu importe à quel point je sais que t'adorerais me voir en soubrette, c'est pas en faisant le ménage que je vais le faire. du coup... » traçant à présent des motifs invisibles avec ton index, tu finis par abandonner cette tâche pour te mettre à califourchon sur jooheon, passant tes bras autour de sa nuque. tu reposes ton front contre le sien et, regards ancrés l'un dans l'autre, tes lèvres esquissant un sourire aguicheur, tu souffles enfin : « je suppose que t'as autre chose en tête ? »

TENUE & CHEVEUX ☽ tes yeux ne fixent qu'elle. en même temps elle est beaucoup plus intéressante que le reste de ton mobilier. tout en observant la jeune fille s’étirer  et souffler de cette journée harassante, tu te laisses croire qu’au final elle aussi cherche à avoir un rapport encore plus tactile. en même temps, n’est-il pas là le contexte même de votre relation ? tu lui échange un sourire et pose lentement ta main sur la sienne qui caresse ta cuisse. tout en l’écoutant tu hoche simplement la tête. parce que oui, avant tout t’es un mec et les mecs ça ne parle que pour dire l’essentiel.  un loyer ? payer ? encore ? de toute manière tu es prêt à faire toutes les dépenses nécessaires pour le confort et/ou réconfort de mami, ta sugar baby. tu lui a promis au début de votre « relation ». mais voilà tu te mets à penser qu’un appartement risquerait d’enfreindre à votre rapprochement. si tu avais répondu présent lorsqu’elle cherchait un toit au-dessus de sa tête ce n’était pas pour la replacer dans un autre logis. te redressant doucement alors qu’elle intensifie sa tendresse sur ta cuisse. elle qui est fatiguée, ça ne se sent vraiment pas. tu arque un sourcil avant de balader ton regard sur ses lèvres où ses dents les mordillent. ce genre de geste te fais valdinguer dans une ambiance tendancieuse et la justicière le sait plus que tu ne le pense. ses cercles invisibles sur ta cuisse te font l’effet d’une plume passant sur ton corps. tu deviendrais presqu’accro à ses agissements. on verra pour l’appart si tu le veux vraiment. en attendant tu resteras avec moi. en tout cas avant de penser à un appart on va penser à ton confort ici… elle monte sur toi et automatiquement ta main glisse sur ses fesses les caressants lentement. parfois, et dû à tes caresses, son long t-shirt remonte et tu n’oses même pas imaginer la vue qu’on peut avoir. vous n’êtes maintenant qu’à une infime distance l’un de l’autre, presque rien ne sépare vos deux corps bientôt réchauffé par vos souffles et vos mouvements.
sa voix tombe dans tes oreilles telles une chatouille. tu relèves doucement la tête vers elle, ton regard de petit enfant refait surface pour cet échange. hm ? non je sais pas c’est toi qui mène la danse là. tu souris puis ta main passe sans hâte derrière sa nuque. avec cette petite pression à son cou, tu la ramène un peu plus contre toi. la distance qui se trouvait être moindre n’est plus. vos lèvres se rencontrent à ce choc de plume. après quelques secondes où l’effervescence de vos sens jaillissais, tu recule ta tête et caresse son visage pour placer quelques mèches rebelles derrière son oreille. je veux que tu restes. si tu veux vraiment tout savoir. et je dois dire que le coup de la soubrette est un très bon argument. ta main glisse sur le bas de son dos que tu ramènes un peu plus contre toi. tu deviens à la limite de la dépendance de sa chaleur. tes lèvres se croient presqu’orphelines sans les siennes pour les cajoler. alors tu l’embrasse à nouveau passant ton autre main sous sa tenue découvrant alors qu’effectivement… il n’y a pas que toi qui a chaud. tu sens aussi que mami te fera apprécier la collocation, que toutes les appréhension que tu avais auparavant ne seront que simples idées infondées. parfois même tu sembleras déçu de ne plus l’avoir auprès de toi.

en musique psk jtm ☽ t'es une effrontée, comme on les appelle. le genre de fille complètement sans gêne qui s'inviterait chez les gens et s'installerait même chez eux sans la moindre honte, comme si c'était chez toi ou que ça te revenait de droit. tu ne vas pas mentir, tu te sens déjà à l'aise chez jooheon et t'es prête à faire comme si sa maison était la sienne, mais t'as tout de même envie de le remercier pour sa générosité. et bien évidemment, t'as déjà quelque chose en tête. mais tu ne dis rien, tu te contentes de lâcher des indices pour qu'il prenne le contrôle. tu sais qu'il adore ça. « allez, je sais qu'on pense tous les deux à la même chose, pas la peine de tourner autour du pot. puis c'est à toi de me dominer, non ? » ta voix est légèrement secouée par la sensation de ses mains parcourant tes fesses, envoyant déjà des frissons électriques dans tout ton corps alors que vous n'avez même pas commencé. tu tentes de te contrôler en aggripant sa cuisse tellement fort que tes ongles auraient pu s'y planter s'il n'était pas – malheureusement – toujours vêtu. tant pis, tu aurais d'autres chances de le marquer. pour l'instant, tu saisis surtout l'opportunité qui se présente pour capturer ses lèvres, déversant toute ta frustration dans un baiser lorsque jooheon comble la distance qui vous séparait d'un geste subtil, te rendant incapable de résister plus longtemps. « je n'irai nulle part... » ta phrase s'achève prématurément lorsque tu te mords la lèvre pour réprimer un gémissement, sensible à la main qu'il glisse sur ton corps comme s'il lui appartenait – ce qui n'est pas si faux, en vérité. vos lèvres se retrouvent rapidement et tu en profites pour laisser s'échapper un geignement contre les lippes de jooheon, tes mains à présent plaquées de chaque côté de son visage pour le rapprocher du tien et approfondir le baiser parce que clairement, t'en auras jamais assez.  
c'est malgré toi que tu t'autorises une pause, haletante, ton souffle chaud caressant le cou de jooheon avant que tu n'y déposes un baiser chaste. tu murmures un « mais seulement si tu me donnes une bonne raison de rester. » plus aguicheur que jamais contre sa peau tandis que tes mains guident les siennes sous ton t-shirt pour l'inciter à te toucher comme bon lui semble, ton corps n'attendant que ça. commençant à t'impatienter, tu finis par prendre l'initiative et abandonner ses mains sur tes côtes pour lever ton t-shirt toi-même, pas assez pour dévoiler ta poitrine entière mais suffisamment pour lui donner envie de voir le reste. « franchement... » toujours installée sur ses cuisses, tu ajustes ta position, tes fesses se frottant intentionnellement à l'entrejambe du policier. « ce ne sera vraiment pas... dur. » tu t'appuies un peu plus contre sa bosse, un sourire narquois apparaissant sur tes lèvres lorsque tu la sens grandir sous ton poids. tu te dis que tu l'as peut-être assez allumé pour l'instant et c'est en dégrafant ton soutien-gorge toi-même que tu tentes de te racheter. cela dit tu ne fais rien d'autre, c'est à lui de prendre les rennes maintenant – ou, en l'occurrence, te prendre toi.

TENUE & CHEVEUX ☽ ses yeux sa bouche, son corps tout entier te rendes plus faible que jamais. c'est mami après tout. elle sait où piquer et où il fallait inciter pour t'apprivoiser. tu faisais là le plus heureux et comblé des "daddy". ton sourire reflète la moitié de tes pensées de mauvaises augures, tu agrippes sa fesse pour la soulever doucement et la faire basculer à côté où ton corps, lourd de desire, s'étend sur elle. tu la dompte, la contrôle et surtout couvre de tes désirs les plus dangereux. la belle n'en a guère peur. elle en joue, cherche un peu plus fort et tu t'enivre. un sourire, un petit rire et ta bouche s'occupe de marquer son cou. une marque que tu juge d'indélébile et qu'elle s'occupera, sûrement de te rendre. la collocation a clairement de bon côté aux quelles mami ne manquera pas de souligner de ses courbes gracieuses et enivrante. tu fonds ainsi sur elle, ondule parfois pour lui prouver qu'elle est particulièrement la sensibilité même de ton corps tout entier. ton bras cherche son poignet que tu emprisonne d'une main ferme tandis que l'autre s'affaire de parcourir ce qui t'ai sacrifié. vos lèvres se touchent, vos langues se lient ; tu lui offre totalement de ton temps et de ton être. je vais te montrer alors combien j'ai envie que tu restes. ta main glisse sous son pull, lui extirpant alors son soutient-gorge au préalable dégrafé par ses soins. ta main, alors fugace, adopte la forme de son sein que tu ne cesse d'attraper, de masser. son odeur est addictif, de son regard à ses ondulations envoûtante. charmé par son paraître et son reflet de l'appétence, tu nourris ton manque par ses lèvres, son corps et sa chaleur. ainsi, ta tête descend au fur et mesure, laissant une marque éphémère sur elle. l'embrassant, la mordillant sur certaines parcelles de son corps, tu gémis ton envie et tire sur les barrières que sont devenus ses vêtements. la démence s'accroître en toi, tes yeux s'amplifient d'envie et de pensées obscènes. elle te charme mais ne te paralyse pas et tu continue d'essayer d'accroître ses miaulement de désir. puis, toi aussi tu commence à ressentir cette chaleur ; au final elle devient contagieuse. alors tu te redresse, toi devenu le maître de cette situation. tu dompte ta proie et la jauge d'un regard tandis que tu te redresse sur elle. ses cheveux jetés comme des éclats, des rayons de soleil, ses vêtements froissés et débraillés, son regard mielleux caressant le moindre de tes mouvements. ce tout qui te force à retirer ton haut devenu bien de trop a ce chef d'œuvre qu'est cet échange charnel. le jetant allègrement à terre tu retourne sur ta proie, la mordant allègrement, encore une fois et faisant subir à ses lèvres ce que cette effrontée peu bien faire a ton cœur mais aussi à ton corps. restes mami, et j'espère être assez convaincant. lui susurres-tu a l'oreille avant de redescendre sur son corps.