♡ âge: 20 ans passés à traîner des pieds sur le bitume tokyoïte, à regarder le ciel en disant que le soleil c'est bien joli, mais putain ça brûle les yeux aussi. ♡ date/lieu de naissance: le 16 avril 1996, tokyo, capitale nippone aux néons éternels. ♡ nationalité et origines: nippone, enfant de l'asie, finalement pas trop sûre. et qu'est-ce qu'elle s'en fout. ♡ orientation sexuelle: le genre humain, les êtres un peu brisés, un peu bizarres, ceux qui font rien comme les autres. et les grands yeux peinés qui tranchent avec le sourire d'ingénu. ♡ études/métiers: étudiante en psychologie, vachement passionnée la gamine. et puis employée rêveuse de la bibliothèque municipale, plus perdue dans ses recueils de poésie et ses romans déprimants qu'à l'écoute des clients. plus discrètement modèle pour une marque de lingerie en ligne. ♡ situation économique: ça s'entasse dans ses poches puis ça disparaît en conneries. ♡statut social: amoureuse des corps, s'imagine libre, se pense indépendante, capable d'oublier. et pourtant elle est toujours là, nichée au creux de son petit cœur qui bat ridiculement vite. soleil et chair. ♡ groupe: les gris les plus jolis.
l'odeur de l'adoucissant. le café après manger. fumer en peignant n'importe quoi. fumer tout l'temps. s'enrouler dans ses draps. la texture des pages. la poésie. les histoires d'amour qui finissent mal. dessiner des choses abstraites. le thé vert avec du lait, sans sucre. soleil (mais c'est un secret). les vestes en cuir. les grandes vestes en jean, aussi. les lunettes rondes. les nooddles cup. les tatouages minimalistes. les chansons tristes et les belles paroles. les couleurs de l'automne. regarder soleil. aimer soleil. ne pas avoir à s'habiller. les rayures. le citron. lire freud, quelques fois. trouver un sens aux esquisses de picasso. l'odeur de l'essence. de l'encens. regarder des films et pleurer. les mouchoirs à l'eucalyptus. les carpes koï. fumer en attendant le bus. fumer en regardant les étoiles dans le ciel. attendre que ses poumons finissent par cramer. le jus de litchi, l'eau à la pêche. regarder les matchs de baseball à la télé. le rhum. ne pas porter de soutien-gorge. caresser les cheveux de soleil. sourire. sourire quand soleil sourit. les bonbons à la rose. les fleurs, les fleurs de cerisier. le crépuscule. le son de la pluie. l'orage. le rire de soleil. le baume à lèvres à la framboise. penser à soleil. le café (mais pas autant que le chocolat). sentir des bras autour d'elle, des lèvres pas trop loin des siennes. celles des autres mais surtout celles de soleil. l'odeur chimique de la peinture. le parfum de soleil. la douceur de sa peau. les chaussures blanches.
♡ manies mordiller l'intérieur de ses joues. retracer les contours de son tatouage. boire trop de café. oublier de manger. trop lire, oublier d'étudier. gratter son chat derrière l'oreille. fumer quand elle est stressée. et fumer quand elle est bien pour être sûre de le rester. arracher l'herbe. arracher les pétales des fleurs. dessiner sur les pages de ses cahiers. penser à soleil. et vouloir l'oublier. froncer les sourcils. faire semblant de comprendre. faire semblant d'être d'accord. chanter en passant l'aspirateur dans le salon. pleurer devant les disneys. écrire des mots pour s'excuser. regarder les dessins-animés le matin à six heures. laisser des post-it partout dans l'appartement. ne pas laisser de nouvelles pendant des jours. parler à son chat. s’extasier devant des hérissons. porter des chaussettes dépareillées. ne pas marcher sur les bandes blanches des passages piétons. tout associer à soleil. fermer les yeux un peu trop souvent. rire parfois pas trop discrètement. garder ses mains dans ses poches quand elle attend. ou croiser les bras. bailler pour se déboucher les oreilles quand elle passe dans un tunnel. insulter les objets. insulter la vie. souffler sur la glace. gesticuler comme une enfant quand elle se brûle la langue. froncer le nez quand elle rit.
♡ phobies les bruits la nuit. les insectes, même les papillons. être abandonnée. déprimer. être seule dans le noir. ne pas être à la hauteur. ne plus savoir quoi faire. perdre le contrôle. aimer un peu trop. aimer soleil. oublier soleil. trop penser à soleil. la détester. puis l'adorer à nouveau.
décris-toi avec 5 emojis: essaie de nous raconter une histoire en 10 emojis max:
♡ ♡ ♡ ♡
tu reçois un sms d'une pote qui demande des conseils parce qu'elle est certaine que son petit-ami la trompe, que fais/dis-tu ? si vraiment c'est ma pote, je me porte directe volontaire pour aller castrer du mâle. si c'est qu'une connaissance, j'lui dit tg, j'suis pas ta mère, tu te démerdes. quelqu'un te touche le cul, tu réagis comment ? les œuvres d'art ça s'regarde, ça s'touche pas. classe par ordre de préférence ces boissons : vin, bière, whisky, café, thé, coca: thé, café puis l'reste j'aime pas, j'fais comment ?
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les chansons qui te représentent: yt me respecte pas donc je dirai juste youth de daughter, workship & meteorite de years & years et puis just my soul responding de amber run. les derniers emojis que tu as envoyés: + c: si tu avais la possibilité de coucher avec la célébrité de ton choix, qui serait-ce ? keisuke asano ptn.
♡ ♡ ♡ ♡
choisis un membre dans le qeel qui attire le plus ta curiosité:soleil de mes nuits montre la plus belle photo de toi:omnomnomnom
tessa/zuzco 7teen
je fais mon grand retour, je compte toujours crécher chez les ghiblis, j'aime ana et je bz tt l'monde amicalement. la bise.
Code:
[u]lee ho jung[/u] - [url=http://emojisandcie.fr1.co/u78]fujisawa nova[/url]
Dernière édition par Fujisawa Nova le Dim 6 Nov - 14:55, édité 3 fois
Invité
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profil
Lun 31 Oct - 13:21
blue velvet softer than the satin was the light from the stars
♡♡ L'IDÉAL
Le sourire aux lèvres, le rire qui chatouillait la gorge, les étoiles au creux des prunelles noisettes striées de noir, des rêves plein la tête, des rêves plein le cœur. Gamine elle voyait des couleurs partout, Nova ; son regard c’était un kaléidoscope, un repaire cosmique. La vie elle trouvait ça chouette, elle trouvait ça beau. Elle aimait courir dans l’herbe et s’érafler les genoux. Elle aimait l’école, elle aimait apprendre. Et le dessin, aussi. Et avec des craies empruntées à la maîtresse elle décorait le béton usé du quartier, parfois les murs, et faisait du vide, du terne, du triste un théâtre enfantin édulcoré où le ciel paraissait toujours plus habité que la terre, où la lune dormait paisiblement, où une étoile souriait et où le soleil semblait ne jamais s’arrêter de rire alors que les nuages pleuraient sans trop savoir pourquoi. Nova elle aimait monter les escaliers deux à deux avec Soleil, l’entendre rire et rire avec elle. Elles prenaient le goûter ensemble, après l’école. Des cochonneries, souvent. Et puis des pastilles à la violette. Parce que Soleil pouvait pas vivre sans ces trucs que Nova aimait juste parce qu’ils étaient violets. Elle aimait le violet Nova ; pas sa mère. Sa mère disait que c’était triste le violet. Elles regardaient un peu la télé, peut-être dix minutes. Des dessins animés à la con qui passent plus maintenant. Et c’était le moment des devoirs et Soleil était sage et Nova chantonnait ses tables de multiplications et battant des pieds dans le vide sous la table en bois sombre. Dix-huit heures trente il fallait partir ; grand sourire, regard malin, Nova disparaissant dans la baraque d’à côté, celle un peu moins grande et un peu moins jolie, agitait sa petite main en guise d’au revoir et promesse de revenir. Et demain ça recommencerait et le weekend elles se quitteraient pas non plus ; elles iraient dehors rejoindre les autres ; bande de gamins innocents et insouciants qui s’imaginaient rois de la piraterie ou princesses guerrières d’un autre siècle. Et quand sa mère était là, quand elle les surveillait, elle disait qu’à travers eux elle voyait la vie en jaune. Et Nova savait pas pourquoi et on lui disait qu'le jaune c'était la couleur de la joie.
♡♡ LES FLEURS DU MAL
Premier tatouage, à peine seize ans, là, juste derrière l’oreille. Une fleur ; une fleur de cerisier. Avec Soleil, toujours avec Soleil, jamais sans elle. Symbole d’un tout ; d’une amitié, d’une tendresse tout juste éclose, d’un bourgeon de bonheur intact, d’une promesse cristalline, fragile. J’s’rai toujours là. Première soirée, aussi. La découverte des autres, l’ajout de couleurs au tableau. L’impression de pas aimer être là puis finalement d’adorer. Première cuite ; Soleil est toujours là. La sensation d’être invincible, de pouvoir tout faire, de voler même. Jusqu’aux étoiles peut-être. Première cigarette derrière les murs de l’internat pour filles ; Nova en nuisette, débraillée, les cheveux en bataille, le sourire au coin des lèvres fières d’avoir goûté au bâton empoisonné, le regard espiègle. Et le coup de froid qu’arrivera demain d’être restée si longtemps dehors à papoter entre filles en tirant sur la même cigarette. Premier baiser dénué d’innocence mais empreint de naïveté sous les néons artificiels de la cité lumière ; coup d’essai et coup de foudre en même temps, un garçon plus âgé, les cheveux noirs de jais, le regard farouche. Son ami, son ennemi elle s’en rappelle plus. Mais c’était son premier amour. Le premier d’une liste un peu trop grande pour son cœur de gamine. Premier rapport un peu oublié, pourtant toujours niché dans un coin de sa mémoire. Elle avait été gênée d’en parler avec Soleil mais Soleil avait rit et Nova aussi, finalement. C’était terrible. Puis premier regard étrange posé sur Soleil. Soleil si belle, Soleil si douce. Soleil qu’elle aimerait que personne ne touche. Première femme. Nova qui se perd, Nova qu’attend, Nova qui sait pas. Et des baisers qui s’échangent, d’autres et encore d’autres, mais jamais d’mots, que du silence, et ni l‘étoile, ni l’astre brûlant ne savent quoi faire et premières larmes et premiers cris ; Nova qui fout tout en l’air et Soleil, cernée, fatiguée, qui claque la porte, qui quitte sa vie. Et alors Nova apprend combien le violet est triste, oui. Maman avait raison.
♡♡ LE SPLEEN
La clope au bec Nova qui peint, qui teinte la toile de mille couleurs. Du jaune, du gris. Tokyo et ses hautes lumières qui se dessinent ; le visage de Soleil qu’apparait dans un coin et qui finit sous une couche de violet. Mélancolie. Elle secoue la tête ; elle est pas triste. Elle doit pas l'être. Le ciel qui se définit, à peine visible sous les gratte-ciel infinis, nuance de blanc, de gris, de bleu trop clair. Pas de soleil, c’est fini. Que des nuages. La vapeur de la pollution qu’étouffe les gens, en bas, qui grouillent dans les rues. Des gens colorés ; des touffes de cheveux rouges, roses, vertes. Des vestes bleu électrique. Un cerisier loin dans le paysage qui fleurit doucement et qui meurt aussi, ça s’trouve, lentement. Et Nova qu’arrête de peindre pour passer ses doigts couverts d’acrylique sur l’esquisse qui décore sa peau, le palpitant nostalgique d'un amour et d'une tendresse disparus. Elle souffle, lance le pinceau, recouvre la toile d’un drap blanc et crade. Dix-sept heures. La cigarette s’écrase dans le cendrier ramené d’argentine par un de ses amis, au milieu de toutes les autres, et Nova se défait de sa blouse alors qu’on frappe à sa porte comme un taré. Ouais, ouais j’arrive. Et elle passe son éternel blouson en cuir sur ses épaules menues et quitte l’odeur chimique de son atelier aménagé sous les combles de l’immeuble pour rejoindre tout le monde en bas, là où l’vent souffle et lui remet les idées en place alors qu’elle feint un sourire agréable. Je suis malade de nostalgie.
Dernière édition par Fujisawa Nova le Dim 6 Nov - 15:59, édité 2 fois
CLOWN/PUÉRIL PAR MOMENT SOCIABLE QUAND TU VEUX BON BOSSEUR ENTREPRENANT EN CE QUI CONCERNE LE TRAVAIL OUVERT D'ESPRIT CHARISMATIQUE CRÉATIF AMICAL (DES FOIS) INTELLIGENT JOUEUR FOURBE/RUSÉ MOU DES FOIS CAFARDEUX DÉBAUCHÉ FRANC EXUBÉRANT OU DISCRET VULGAIRE BOFF ATTITUDE TROP VITE DÉSINTÉRESSÉ TROP CHAUD LAPIN OU TROP FROID CHARMEUR GAFFEUR HAUTAIN RAGEUX ANTICONFORMISTE INSOLENT PERSÉVÉRANT À EN DEVENIR TÉTU RATIONNEL PARFOIS SPIRITUEL APRÈS LA DÉFONCE TAQUIN VOIR À TENDANCE SADIQUE.
Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.
LES ENFANTS OBJETS QUI NE VOULAIENT PAS ÊTRE MARIÉS
Lun 31 Oct - 15:29
oh mon dieu, l'avatar m'a tué. adieu.
trop de perfection en toi et pourquoi hina serait une privilégiée j'suis où moi là-dedans ? jsuis quand même le plus beau
chien de garde la nuit et étudiant en langues le jour
décore ton profil :
☾ if the world sets in fire, and if life is frozen in time ☾
murder lives forever and so does war. It's survival of the fittest : richagainst the poor. At the end of the day, it's a human trait, hidden deep down inside of our DNA. is it running in our blood, is it running in our veins, is it running in our genes, is it in our DNA. humans aren't gonna behave, as we think we always should. we can be bad as we can be good.
CLOWN/PUÉRIL PAR MOMENT SOCIABLE QUAND TU VEUX BON BOSSEUR ENTREPRENANT EN CE QUI CONCERNE LE TRAVAIL OUVERT D'ESPRIT CHARISMATIQUE CRÉATIF AMICAL (DES FOIS) INTELLIGENT JOUEUR FOURBE/RUSÉ MOU DES FOIS CAFARDEUX DÉBAUCHÉ FRANC EXUBÉRANT OU DISCRET VULGAIRE BOFF ATTITUDE TROP VITE DÉSINTÉRESSÉ TROP CHAUD LAPIN OU TROP FROID CHARMEUR GAFFEUR HAUTAIN RAGEUX ANTICONFORMISTE INSOLENT PERSÉVÉRANT À EN DEVENIR TÉTU RATIONNEL PARFOIS SPIRITUEL APRÈS LA DÉFONCE TAQUIN VOIR À TENDANCE SADIQUE.
Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.
LES ENFANTS OBJETS QUI NE VOULAIENT PAS ÊTRE MARIÉS
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RYO MON AMOUR ; sign : 
ermagad 
(nn mais c'est pcq t'es inclassable que j'te cite pas, t'es trop fab pour ça)
(indice pcq j'suis gentille ; askip mes perso ont jamais existé longtemps mskn j'suis maudite)
