♡ âge: twenty-two. ♡ date/lieu de naissance: soleil d'orient, 4 juillet dans une ville édulcorée, tokyo. ♡ nationalité et origines: japonais. ♡ orientation sexuelle: XXXX. ♡ études/métiers: artiste des rues, nuée de cauchemars. ♡ situation économique: tâches d'acrylique sur des billets froissés...ça vient dans ses poches comme ça se noie dans l'alcool. ♡statut social: fissure le battant. ♡ groupe: ghibli
les bombes comme mégaphones, sa voix éclate en millions de couleurs sur les murs de cette ville rouillée par les lumières technicolors. il accuse. pointe du doigt, sans foi, ni loi. ni dieu, ni maitre. redessinant le miroir de leur regards timides par des lignes ensorcelées, possédées par sa colère. cet antibiotique pulsant en son cœur détraqué. il n'a pas sa langue dans la bouche, elle pend, traine au sol, tâche leur visage de ses crachats impétueux. ni dieu, ni maître. l'alphabet se résumant à sa première lettre dans son esprit rêveur. un pauvre fou, qu'ils crient, une honte dans cette masse grisâtre qui s'essouffle dans les bureaux. 24/7 brouillant leurs cerveaux des conneries, de news, d'écrans hypnotiques. il brise ces conventions, il fait un autodafé de leur moral à deux balles, dansant, le sataniste, au murmure des flammes. elles crépitent en la nuit constellée, larmoyant ses yeux déchirés par la vie violée, illuminant le drapeau de ses outrages, éclairant l'hymne de ses coups de gueule. il déteste ces chaines qui crissent à chacun de ses mouvements, il craint ces jugements de valeurs, il pleure ses songes irréalistes. seul. seul face au monde. montant les idées de tous, griffant sa poitrine de rage, elle qui ne cicatrise même plus après tant d'années de déviations psychiques. il se dessine jeunesse volée. il se miroite troublé et inconscient. il s'aime le poing en l'air et fou. électron libre dans la foule brayante, le p'tit môme chante la connerie humaine, le requiem de cette putain de race.
décris-toi avec 5 emojis: essaie de nous raconter une histoire en 10 emojis max:
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tu reçois un sms d'une pote qui demande des conseils parce qu'elle est certaine que son petit-ami la trompe, que fais/dis-tu ?jramène ma batte et une caisse de bière. quelqu'un te touche le cul, tu réagis comment ?jle défonce sa mère classe par ordre de préférence ces boissons : vin, bière, whisky, café, thé, coca:bière, café, whisky, vin, coca, thé
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les chansons qui te représentent:1, 2, 3 et4 les derniers emojis que tu as envoyés:j'envoie pas d'emoji moi si tu avais la possibilité de coucher avec la célébrité de ton choix, qui serait-ce ?le ptit cul d'la vierge marie
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choisis un membre dans le qeel qui attire le plus ta curiosité: montre la plus belle photo de toi:cheesecake !
Dernière édition par Itô Takeshi le Sam 22 Oct - 22:09, édité 2 fois
Invité
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Sam 22 Oct - 19:10
story oh lord, heaven knows we belong way down below
+ GREAT EXPECTATIONS
des paillettes ornaient ses candides iris. les paupières tatouées d'étoiles, l'enfant pendait aux aspirations de papa et maman. une corde de satin autour de son cou délicat, la brume dégageant de l'aurore de sa vie, les rayons s'amenuisant...crépuscule avant la nuit. gosse de riches qu'ils criaient tous dans les cours de récrés. il possédait leurs rêves entre ses mains trop petites. premier né. premier fils. la gloire du paternel, le sentiment d'un devoir accompli dans la poitrine de la maternelle. ses petits souliers foulaient les tapis d'orient, les sols en marbre, la vie à l'européenne puisque ça impressionnait les camarades, les autres bridés qui n'existaient qu'à travers leurs traditions périmées. elles pourrissaient plutôt dans l'esprit des parents, et ne se manifestaient que lorsque le mot éducation était jeté. qu'il serait beau leur fils en costume, comme le chef de la petite famille. gâtant de son aura sévère les photographies, clichés d'un train d'existence parfait. patron d'une compagnie de jeux vidéos qui marchent bien, la femme issue de la noblesse, le cul en or et les sourires de poupée. le gamin, un savoureux mélange des traits du premier, des yeux fatigués de la seconde. une mosaïque de leur figure stéréotypé, un prototype de l'homme parfait. accompli dans une vie professionnelle qui le poignarde, attrapant son cœur dans une course paniquée, refoulant ses rêves de gosse et peignant des rictus contrôlés sur le faciès de sa tribu. il fallait paraitre dans des tenues d'apparat, dire des mots compliqués qu'on ne saisissait pas totalement, parler de la dernière flambée du prix du pétrole...sentir sa vie nous monter au nez comme du champagne. pétiller de bling-bling qu'on achète avec surplus. il fallait tous les éblouir. tous. "mon fils marcha très tôt, et regardez-le du haut de ses quatre ans vouloir lui aussi, tout comme son cher père, diriger une entreprise !". on s'entrainait devant la glace à se dire, se le redire, y croire, y mettre du sien. l'alcool embourbait les lèvres, qui, autrefois, pleuvaient de baisers. les faux-cils se déchirant des paupières, le collier de perles dévastant le sol. démembrée, il fallait la trouver ainsi. le noir charbonneux striant ses joues rougies par les cris, le rouge à lèvres débordant sur son visage strict et fermé. il fallait qu'il la voit ainsi, le petit peter pan, pour qu'il crash de son vol, et empoisonne son neverland.
+ LIFE IS STRANGE
l'appel du vide. il s'était jeté sur les rails de la vie, le bruit sourd de la société saignant ses oreilles, ses phares embrumant ses yeux constellés. les mains liées au fer glacé, la corde de sa destinée baisant d'une fièvre folle ses poignées. les cailloux exploraient son dos...traçant de rouge la peau dorée. il n'y avait rien à faire, le battant sonnant le lacrymosa, la cage thoracique étouffant ses chants morbides. il n'y avait plus rien en lui. il s'était déchiré le corps pour l'attention d'un adulte. les veines s'étaient exposées à des lames perverses pour cacher les larmes. éventré, il s'était tenu devant ses parents aveuglés. se donnant en sacrifice à leurs idéaux abimés. il n'y croyait plus le gamin. il n'y avait peut-être jamais crut. à ses doigts encerclant sa gorge, à cette voix retentissant avant la sienne, à cette pièce de théâtre dans lequel il se devait de n'apparaitre que lorsqu'on le lui demandait. putain...il avait grandit trop vite. avec la violence des coups dans les apartés, la froideur du langage découpant sa chair, lacérant sa peau. il s'était brisé les os pour un peu d'affection, d'humanité, de bon sens. les morceaux s'étaient coincés dans ses muscles tendus. alors il s'était jeté...les tourments de la fatalité le hantant comme de vils harpies. il se trouvait sur les rails de la vie...et il n'attendait que la mort de son esprit. le calme mécanique qui est le propre de son père. l'hypocrisie fantasque, talent de sa mère. la mer violente de ses rêves s'écoulerait en un ruisseau...
il hurla. hurla à la vie. à cette connerie d'existence. à cette société. non. il ne voulait pas être attaché. ni dieu. ni maitre. ni foi. ni loi. ni lui. ni elle. ni le frère cadet sur lequel il dessinait des constellations, des univers entiers puisqu'il l'aimait comme un humain. la page blanche saigna de noir, et le grand moraliste naquit. l'anarchiste aux pinceaux, crayons, feutres, pastels. l'anarchiste au cœur au bord des lèvres, l'âme arrachée. non...il s'en reconstruisait une...tissait cette toile si fine, se recouvrait du voile de ses idées. peter pan reprit son envol, sniffant sa poudre d'étoiles pour les voler au ciel nocturne, et les blottir dans ses pupilles grandissantes. dévorant le monde dans le trou noir. dévorant chacune des lumières artificielles de la cité, captant tous les détails, les physionomies répétitives qui s'installaient au métro, les tons qui définissaient les paysages...il était un fuyard, un lâche qui avait quitté le champ de bataille, on l'avait jeté de la maison familiale pour qu'il ne déshonore plus la famille de son idéologie perverse : celle de l'humanité raisonnée. celle qui rit les démons, chante la liberté, respire la bonté, déborde de culture. idéaliste...oui, il l'était. le cruel idéaliste s'était forgé avec des mains sales d'aquarelles, les paumes s'amourachant de fusains. il osa alors s'exprimer. sortir de la scène, s'assoir au banc des spectateurs, être seul face au théâtre des mœurs, jugeant de leurs minables performances. cette bonne comédie qu'était la vie, à présent il en riait à pleins poumons. et auprès de lui, son enfance faite homme, hiro le damné. le corrompu filant ses désirs sur les courbes de la poupée à sa droite. puis d'autres s'ajoutaient, des enfants perdus qui attachèrent à leur petit doigt, le fil rouge de l'éternité.
+ NO REST FOR THE WICKED
La route se découvrait sous les phares, astres électriques, deux paires d’yeux d’illuminé, alors qu’il roulait les cheveux ébouriffés par le vent. La nocturne amante revenait baiser avec l’esprit renversé du môme-chien. De celui qui hurle à la lune le désespoir de sa cause, fricotant avec les démons hystériques renfermés dans son cerveau miteux…de ce gamin à la main rugueuse d’un meurtre de pierre…d’un conflit d’idéaux, de chemin, une route empruntée par hasard et il l’avait descendu. Explosé son crâne, morcelé le sien. Les pupilles flashant de noirs désirs, des bonheurs palpitant entre ses doigts sales, les ongles couverts de terre, leur essence découlait de sa paume assassine, il avait rompu le pacte avec l’innocence. Il l’avait trompé, elle était partit chialée auprès de son enfance, de ses rires inconscients…Takeshi s’était réfugié, loin de ces monstres néons qui se rythmaient sous le boum-boum incessant de la vie. Takeshi avait fui, criminel, laissant l’imagination courir hystérique dans la tête des autres, ceux-là même qui le connaissaient et peut-être, qui sait, (le sourire se dessine) l’aimaient. Il avait besoin de refaire le puzzle de son existence. Dans une campagne nippone s’était-il retrouvé, bossant pour des survivants du temps, des visages aux creux heureux. Le merdeux, il les avait aussi trompé…et pour quelle raison cette fois-ci ? Mais c’est que le péché infectait son corps à présent…ouais ça pulsait dans ses veines, frappant contre les parois de son âme, comme de la bonne grosse dope qu’il se serait injecté droit dans le battant. Ca le faisait marrer là, rien que d’y penser au milieu de la nuit, au milieu de nulle part. Putain qu’il était perdu, jamais sa vie n’a autant été un désastre. Un bordel où les putes dépressives venaient s’foutre en l’air avec sa bestialité, avec sa psychose…Fou. Fou. Fou. Et il chantait la même berceuse « j’ai vu le monde tournoyer et en moi se glisser, vertige, vertige vertige… », encore et toujours perdait-il pied, accélérant dans l’autoroute de sa perte, vers l’horizon caché, celui qui l’effacerait, l’engloutirait, le dévorerait. Il s’arrachait les membres parfois à la tâche de ces vieux, pour au final leur voler leurs économies et s’casser comme il savait si bien le faire. Ouais, ça le faisait rire à présent. Ivre de Dionysos… Il le savait…au plus profond de lui, que ce moment allait arriver…où la vague de sa folie allait l’emporter vers l’océan…et il perdait pied. Encore. Il collectionnait les propos dégueulasses, les malheurs crachés à la gueule des autres loups. Il collectionnait l’univers sur sa peau basanée. Des systèmes violets, bleus, jaunes, verts…des chemins étoilés cramoisis. Pan. Ca résonnait encore. Et la douleur lancinait sa cuisse à la réminiscence. Pan. Ca sonnait comme son propre prénom. Pan. Ca le faisait rire encore et toujours. Pan. Pan. Pan. ET TU ES MORT ! Papa se jetait à terre, maman rigolait aux jeux assassins. Pan. Pan. Pan. ET TU AS TOUT TACHE ! Il a giclé ses couleurs extraordinaires contre la virginité d’un canevas. Pan. Pan. Pan. ET TU T’ES TUE ! Le jaune dégoulinait de sa bouche de gamin, le gout âpre torturant ses viscères jusqu’au lavage dans la clinique blanche. Le jaune dégoulinait de sa chevelure à présent…comme si la joie pouvait encore s’enraciner dans sa tête. Le jaune de Van Gogh. Le jaune de l’artiste. Le jaune de Pan.
Dernière édition par Itô Takeshi le Sam 22 Oct - 20:03, édité 2 fois
CLOWN/PUÉRIL PAR MOMENT SOCIABLE QUAND TU VEUX BON BOSSEUR ENTREPRENANT EN CE QUI CONCERNE LE TRAVAIL OUVERT D'ESPRIT CHARISMATIQUE CRÉATIF AMICAL (DES FOIS) INTELLIGENT JOUEUR FOURBE/RUSÉ MOU DES FOIS CAFARDEUX DÉBAUCHÉ FRANC EXUBÉRANT OU DISCRET VULGAIRE BOFF ATTITUDE TROP VITE DÉSINTÉRESSÉ TROP CHAUD LAPIN OU TROP FROID CHARMEUR GAFFEUR HAUTAIN RAGEUX ANTICONFORMISTE INSOLENT PERSÉVÉRANT À EN DEVENIR TÉTU RATIONNEL PARFOIS SPIRITUEL APRÈS LA DÉFONCE TAQUIN VOIR À TENDANCE SADIQUE.
Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.
LES ENFANTS OBJETS QUI NE VOULAIENT PAS ÊTRE MARIÉS
CLOWN/PUÉRIL PAR MOMENT SOCIABLE QUAND TU VEUX BON BOSSEUR ENTREPRENANT EN CE QUI CONCERNE LE TRAVAIL OUVERT D'ESPRIT CHARISMATIQUE CRÉATIF AMICAL (DES FOIS) INTELLIGENT JOUEUR FOURBE/RUSÉ MOU DES FOIS CAFARDEUX DÉBAUCHÉ FRANC EXUBÉRANT OU DISCRET VULGAIRE BOFF ATTITUDE TROP VITE DÉSINTÉRESSÉ TROP CHAUD LAPIN OU TROP FROID CHARMEUR GAFFEUR HAUTAIN RAGEUX ANTICONFORMISTE INSOLENT PERSÉVÉRANT À EN DEVENIR TÉTU RATIONNEL PARFOIS SPIRITUEL APRÈS LA DÉFONCE TAQUIN VOIR À TENDANCE SADIQUE.
Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.
LES ENFANTS OBJETS QUI NE VOULAIENT PAS ÊTRE MARIÉS
bunkyo, minato...des allés retours chez lui et chez isa.
emploi/études :
apprenti pompier, rêve de gosse.
Sam 22 Oct - 20:03
trop beau l'avatar que t'as mis dans ta fiche sinon je n'ai pas envie de balancer quoi que ce soit, mais en effet, elle s'est préparée à l'avance. elle m'a menacé de ragequit si elle n'était pas la première membre validée, a tenu des propos très violent, m'a planté un couteau sous la gorge...c'est donc forcée, que je te valide...
WELCOME!
GHIBLI T'ATTENDS
félicitations, tu viens d’être validé(e) chez les ghiblis ! accroche toi à totoro et envole-toi vers ta nouvelle maison, parce que tu vas pouvoir rejoindre le flood des gris et pleurer ensemble devant « le tombeau des lucioles ». ! avant toute chose, on te demande d’aller poster ton activité rp ici ! ici ! c’est primordial, parce que si tu l’fais pas, ben nous on sait pas si tu joues ou si tu glandes ! du coup, à la fin du mois, tu risques d’être en danger, perdre tous tes pokémons, ton dur labeur… et on est sûrs que t’as pas envie de ça ! par la suite, tu pourras commencer à gérer ton personnage ! créer sa fiche de liens pour qu’il s’fasse plein de potes, lui trouver un petit nid douillet (à part si tu veux qu’il dorme sous les ponts :hm : ) et même créer ses réseaux sociaux ! pokedex téléphone, instagram… parce que nous on est d’la génération y tavu. tu pourras aussi créer tes scénarios, tes pré-liens, tout c’qui pourra t’aider à l’évolution de ton personnage… t'as juste à cliquer sur les petites icônes en dessous de ce message ultra barbant dont tu ne vois pas la fin i love you !
e&c, c’est ta nouvelle maison, t'es ici chez toi maintenant ! alors envole-toi, petit papillon ! et si tu as besoin de quoi que ce soit, tes maîtres admins, comme lori, seront toujours là pour toi. on te remercie d’avoir choisi e&c, en espérant que tu t'amuses comme un malade parmi nous !
Friendship is the hardest thing in the world to explain. It's not something you learn in school. But if you haven't learned the meaning of friendship, you really haven't learned anything.
Dim 23 Oct - 0:50
Désolé mais on va vous bannir parce que je ne vous aime pas. Kiss tout ça.