Paniquer. Avoir peur. Les émotions les plus simples que ressent un être humain. Être inquiet, s’angoisser. Culpabiliser. Se sentir seul. Se sentir triste, ou même heureux. Haena cligne des yeux et tue les mots à la lisière de ses lèvres, quand on lui parle des sentiments humains. Elle attend, inspire, expire. Elle évite de laisser un souffle exaspéré la quitter mais ne fait rien pour paraître moins désintéressée par le sujet. Elle ne comprend pas ce que c’est, et elle ne cherche pas à comprendre. « J’ai… un trouble de personnalité. » Elle avoue alors. Et les gens la regardent curieusement, presque sympathiquement. Donc elle continue, elle explique avec patience, un sourire finement dessiné sur ses lèvres : « Je ne ressens rien. »Absolument rien.
Sauf pour elle. Si Haena avait une liste de personnes à tuer, Heo Mina serait en top de liste.
...ouais.
Dim 23 Oct - 21:55
Jung Haena ft park sooyoung
YOUR IDENTITY
♡ âge: 23 ans. ♡ date/lieu de naissance: Busan, Corée du Sud. 1993. ♡ nationalité et origines: Sud-Coréenne. ♡ orientation sexuelle: indécise. ♡ études/métiers: Software Engineer, Hacker. ♡ situation économique: riche. ♡statut social: a faim. ♡ groupe: sailor la lune
Paniquer. Avoir peur. Les émotions les plus simples que ressent un être humain. Être inquiet, s’angoisser. Culpabiliser. Se sentir seul. Se sentir triste, ou même heureux. Haena cligne des yeux et tue les mots à la lisière de ses lèvres, quand on lui parle des sentiments humains. Elle attend, inspire, expire. Elle évite de laisser un souffle exaspéré la quitter mais ne fait rien pour paraître moins désintéressée par le sujet. Elle ne comprend pas ce que c’est, et elle ne cherche pas à comprendre. « J’ai… un trouble de personnalité. » Elle avoue alors. Et les gens la regardent curieusement, presque sympathiquement. Donc elle continue, elle explique avec patience, un sourire finement dessiné sur ses lèvres : « Je ne ressens rien. » Absolument rien. Et ça l’arrange. La vie est certainement plus facile sans ces émotions accablantes, Haena ne le nie pas, mais même sans ça, la sienne ne manque pas de complications. « Je pourrais tuer une personne, et je ne sentirais rien. Aucun regret. » Mais j’ai mieux à faire. Comme passer des journées en face de son petit écran à craquer des codes, à s’informer sur des choses bien plus importantes ou à faire son travail – et on pourrait la qualifier d’asociale (elle l’est, finalement) mais vraiment, c’est juste qu’elle préfère les machines à la stupidité humaine. « Je crois qu’on appelle ça un sociopathe ? Ou un monstre, si vous voulez. »
MY PERSONNALITY
Arrogante, autoritaire, cynique, dure, maline, rancunière, généralement égoïste, opportuniste et pour ainsi dire violente. Intellectuelle. Certainement habile, méthodique, patiente, hardie, serviable, sensée et rationnelle.
DO YOU USE EMOJIS ?
décris-toi avec 5 emojis: ( ) essaie de nous raconter une histoire en 10 emojis max:
♡ ♡ ♡ ♡
tu reçois un sms d'une pote qui demande des conseils parce qu'elle est certaine que son petit-ami la trompe, que fais/dis-tu ? Je propose de le tuer et de laisser son corps dans mon frigo. quelqu'un te touche le cul, tu réagis comment ? Je menace de le tuer. classe par ordre de préférence ces boissons : vin, bière, whisky, café, thé, coca: tuer, whisky, café, le reste c'est pour les amateurs.
♡ ♡ ♡ ♡
les chansons qui te représentent:1, 2, 3 et4 les derniers emojis que tu as envoyés: si tu avais la possibilité de coucher avec la célébrité de ton choix, qui serait-ce ? Shay Michelin Mitchell
♡ ♡ ♡ ♡
choisis un membre dans le qeel qui attire le plus ta curiosité:l'autre conne montre la plus belle photo de toi:cheesecake !
Twen/Nari 19 ans
ici, tu nous dis tout : tout + Sailor Moon.
Code:
[u]Park Soo Young[/u] - [url=http://emojisandcie.fr1.co/u44]Jung Haena[/url]
Dernière édition par Jung Haena le Ven 28 Oct - 19:12, édité 5 fois
Paniquer. Avoir peur. Les émotions les plus simples que ressent un être humain. Être inquiet, s’angoisser. Culpabiliser. Se sentir seul. Se sentir triste, ou même heureux. Haena cligne des yeux et tue les mots à la lisière de ses lèvres, quand on lui parle des sentiments humains. Elle attend, inspire, expire. Elle évite de laisser un souffle exaspéré la quitter mais ne fait rien pour paraître moins désintéressée par le sujet. Elle ne comprend pas ce que c’est, et elle ne cherche pas à comprendre. « J’ai… un trouble de personnalité. » Elle avoue alors. Et les gens la regardent curieusement, presque sympathiquement. Donc elle continue, elle explique avec patience, un sourire finement dessiné sur ses lèvres : « Je ne ressens rien. »Absolument rien.
Sauf pour elle. Si Haena avait une liste de personnes à tuer, Heo Mina serait en top de liste.
...ouais.
Dim 23 Oct - 21:55
background story ft growing up and growing numb
« Je voulais suivre les pas de mes parents. » Mensonges. Elle naît dans une famille de chirurgiens : père, mère, tantes et oncles. Tous des enthousiastes de la médecine. Fascinés par l’adrénaline qui coule dans leurs veines, par le savoir-faire, par le savoir-dire. Par le sang sur leurs gants et les organes sous leurs yeux. La vie entre leurs mains. Aussitôt arrivée dans cette famille de fous, aussitôt on lui cale un scalpel en or entre ses douces mains d’enfant encore pure, aussitôt on lui annonce : le monde t’appartient, conquis, achève, réussis. Haena ouvre les yeux et découvre son entourage. Une mère absente qui ne vit qu’entre les quatre murs de son hôpital et qu’à travers les articles qu’elle publie ou qu’on publie d’elle un peu partout. Un père jaloux de ce succès, féroce à travers ses mots autant qu’à travers ses gestes et il finit par quitter la maison, quand vint le temps pour leur famille fissurée de se briser enfin. Il veut s’épanouir, il veut commencer à nouveau, alors il prend ses affaires et s’en va pour le Japon, là où un bon poste l’attend déjà. Chef de chirurgie. « On n’a pas besoin de lui. » Haena hoche de la tête quand sa mère la rassure. « On est bien sans lui. » Elle est d’accord, mais pleure quand même le soir quand celle-ci n’est pas là pour entendre. (Ou réconforter.)
Les années passent et on lui pose des espérances sur ses épaules une par une, un à un. Elle est discrète, disciplinée et très différente. C’est une Jung digne de ce nom, aussi belle qu’intelligente, un futur médecin, certainement. Un chirurgien, évidemment. Parfois sa mère lui demande de s’asseoir tranquillement dans un coin vide du bloc opératoire, de ne pas bouger et d’écouter, d’observer, surtout d’apprendre, elle ne discute pas l’ordre et évite le regard d’acier de sa maternelle. Elle scrute ses mains et la contemple faire, fascinée par son talent et la discipline qu’imposait le métier mais elle garde quand même sa console de jeu en main et essaye de hacker l’engin pour dépasser les stages qui l’embêtent, quand personne ne regarde. Parfois sa mère lui demande quel était son métier rêvé, et elle sait quoi dire : chirurgien. Elle sait aussi qu’elle s’attend à bien plus que ça de sa part alors elle lui dit ce qu’elle veut entendre : elle lui parle du sang, les organes exposés qui ne demandent qu’à être réparés, des points de sutures parfaites qu’elle aimerait apprendre à réaliser, de l’euphorie d’une opération réussite. Mais elle se mord la lèvre pour ne pas parler de ce monsieur qu’elle a vu dans un film en train de manipuler un ordinateur comme un dieu, de ces codes qu’on retrouve dans les quatre coins de la machine qui la fascinait presque autant que l’être humain. Parfois sa mère l’observe avec un sourire satisfait, elle a toujours le nez dans un de ses bouquins, cette petite, assise sur une chaise à côté de Mina (fille d’une amie de famille qui arrivait miraculeusement à supporter le silence d’Haena), elles parlent de médecine comme toujours. (Et quand celle-ci détourne les yeux, quand aucune d’elles ne regarde, elle se permet de scruter les traits de Mina un peu plus longtemps, se permet de se demander pourquoi son cœur perdait son rythme à la vue de ses lèvres et de ses prunelles étincelantes.)
Haena comprend très vite qu’elle ne peut pas s’intéresser à deux domaines aussi vastes en même temps - elle a dix-sept ans, ses yeux encore pétillants d’innocence, ses traits encore fraîchement tracés, ses lèvres des rictus sincères et encore dénudés de malice, elle décide de laisser tomber sa passion pour les ordinateurs et de se consacrer à la médecine. Elle a dix-sept ans, aussi, quand elle vit pour la première fois du sang humain couler devant elle sans éprouver cet éblouissement habituel propre au bloc opératoire. Sa mère allongée sur le sol de sa cuisine, inconsciente. La fille ignore quand elle a appelé les secours, exactement, comment elle s’est retrouvée à genoux devant elle à essayer d’arrêter l’hémorragie provoquée par un coup de scalpel contre son poignet, ou pourquoi ladite femme tenait ledit scalpel. Elle s’était entêté à chercher un pou même si elle savait, cependant, que c’était futile. Un chirurgien aussi extraordinaire ne raterait jamais la veine – la vaine, le point fatal qui assurerait une mort rapide et certaine – et elle se déteste un peu, aujourd’hui encore, de n’avoir rien ressenti à ce moment-là. Elle ne trouvait pas (ne trouvait plus, ne trouve plus) en elle l’envie de pleurer, ou de rire, ou de s’exprimer. Son deuil fut rapide et silencieux. Elle ne s’était pas écrouler devant la tombe de son parent décédé, lors de son enterrement, mais elle avait enterré ses émotions avec et le lendemain, elle s’était replongé dans ses bouquins comme si de rien n’était, plus intriguée par son livre d’anatomie que les regards curieux mais inquiets qu’on posait sur elle. Comment leur expliquer qu’elle n’y arrive plus ? Sentir autre chose que de l’ennuie. Sentir, simplement. Elle lit sur ça et se renseigne et ne cligne même pas des yeux quand elle parvint à la conclusion qu’elle souffrait d’un trouble de personnalité certainement issu d’un trauma. (« Le suicide de ma mère n’est pas un trauma, » explique-t-elle. « C’est son choix, et c’est fatal, et c’est terminé. ») Et elle se déteste un peu, quand même, car quand il s’agit de Mina, tout semblait changer. Quand il s’agit de Mina, ou de ce patient que cette amie apprécie juste un peu trop, elle tremble de colère. Elle tremble de peur. Elle ressent. Quand il s’agit de Mina, son monde s’écroule en un claquement de doigts, elle la déteste (l’aime) pour ça.
Haena se demande pourquoi elle s’est entêtée à la suivre au Japon, d’ailleurs, à laisser tomber ce futur qu’elle avait promis à tout le monde pour une personne qui n’éprouvait pas la même chose à son égard. Elle aurait pu la laisser sortir de sa vie. C’était l’aînée qui avait foiré sa carrière pour un homme qui ne la méritait pas, alors que la Jung se tuait à rester au top de sa promotion, pourtant. (Pas qu’elle soit jalouse de l’homme – pas du tout.) Elle se dit que c’est l’occasion de fuir les espérances, qui a motivé sa décision, et non ses émotions. Ou peut-être que c’est l’idée d’abandonner la médecine et de se replonger dans l’écran d’un ordinateur, là où tout est algorithmes et rationnel. Mais ce n’est sûrement pas ses émotions. (« Je n’ai pas de sentiments, » elle insiste, sincère, réaliste. Elle ne le prétend pas. « C’est juste que j’apprécie Mina, et je m’intéresse à elle – mais ce n’est pas de l’amour. »)
Dernière édition par Jung Haena le Mer 26 Oct - 16:52, édité 1 fois
Friendship is the hardest thing in the world to explain. It's not something you learn in school. But if you haven't learned the meaning of friendship, you really haven't learned anything.
Dim 23 Oct - 22:06
PUTAIN MAIS ATT G MM PAS FAIT MINA J'ALLAIS LA FAIRE :@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@
#143, APPARTEMENT LUXUEUX PERSONNEL À CHIYODA + RÉSIDENCE FAMILIALE AU 69 À MEGURO OU VOUS POUVEZ ÉGALEMENT ME RETROUVER LE PLUS SOUVENT DANS L'UNE DES CHAMBRES DE L'HÔTEL DES SATO ♥
emploi/études :
Il travail comme sous-direct de la grande marque de luxe N'Lux e futur pdg.
décore ton profil :
Ce gosse étrange c'est mon ptit frère alors don't touch si tu veux pas crever.
C'est mon bro, ma life, sans lui je me ferais chier comme un rat mort. I love you bro'.
Team Pirate Pirate un jour, pirate toujours
Lun 24 Oct - 20:27
Je peux dire une chose ?... Même si je ne peux pas je le fais. Je suis in love de ton vava il est magnifique **. Bon retour o/
You have the sickness like your father had before you. He stifled it the only way he could. These mental perversions are an affliction of the extremely affluent. Cousins marry cousins to protect the money, to keep the estates whole. Inbreeding. Becomes a right of passage to have a psychotic or two in the line.
He didnt know what was defeating him, but he sensed it was something he could not cope with, something that was far beyond his power to control or even at this point in time comprehend
félicitations, tu viens d’être validé(e) chez les sailor moon ! viens combattre les forces du mal au nom de l'amour et de la justice dans une combinaison girly ! tu vas pouvoir rejoindre le flood des roses aux confins du système solaire et retrouver tous les autres guerriers et guerrières sailor. avant toute chose, on te demande d’aller poster ton activité rp ici ! c’est primordial, parce que si tu l’fais pas, ben nous on sait pas si tu joues ou si tu glandes ! du coup, à la fin du mois, tu risques d’être en danger et recevoir la visite de sans-visage… et on est sûrs que t’as pas envie de ça ! par la suite, tu pourras commencer à gérer ton personnage ! créer sa fiche de liens pour qu’il s’fasse plein de potes, lui trouver un petit nid douillet (à part si tu veux qu’il dorme sous les ponts et même créer ses réseaux sociaux ! téléphone, instagram… parce que nous on est d’la génération y tavu. tu pourras aussi créer tes scénarios, tes pré-liens, tout c’qui pourra t’aider à l’évolution de ton personnage… t'as juste à cliquer sur les petites icônes en dessous de ce message ultra barbant dont tu ne vois pas la fin i love you !
e&c, c’est ta nouvelle maison, t'es ici chez toi maintenant ! alors envole-toi, petit papillon ! et si tu as besoin de quoi que ce soit, tes maîtres admins, comme lori, seront toujours là pour toi. on te remercie d’avoir choisi e&c, en espérant que tu t'amuses comme un malade parmi nous !
CLOWN/PUÉRIL PAR MOMENT SOCIABLE QUAND TU VEUX BON BOSSEUR ENTREPRENANT EN CE QUI CONCERNE LE TRAVAIL OUVERT D'ESPRIT CHARISMATIQUE CRÉATIF AMICAL (DES FOIS) INTELLIGENT JOUEUR FOURBE/RUSÉ MOU DES FOIS CAFARDEUX DÉBAUCHÉ FRANC EXUBÉRANT OU DISCRET VULGAIRE BOFF ATTITUDE TROP VITE DÉSINTÉRESSÉ TROP CHAUD LAPIN OU TROP FROID CHARMEUR GAFFEUR HAUTAIN RAGEUX ANTICONFORMISTE INSOLENT PERSÉVÉRANT À EN DEVENIR TÉTU RATIONNEL PARFOIS SPIRITUEL APRÈS LA DÉFONCE TAQUIN VOIR À TENDANCE SADIQUE.
Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.
LES ENFANTS OBJETS QUI NE VOULAIENT PAS ÊTRE MARIÉS
Sam 29 Oct - 19:06
tu m'énerves avec ta beauté. y'a un moment faudra songer à arrêter. tu fais mal à mon coeur