hackeur, fils de pute, bénévole à la soupe populaire
Mer 26 Oct - 20:20
imaichi junno ft kim wonjung
YOUR IDENTITY
♡ âge: 27 ans. ♡ date/lieu de naissance: 28 juin 1989. ♡ nationalité et origines: coréen zainichi. ♡ orientation sexuelle:lesbienne misanthrope. ♡ études/métiers: hackeur, que ce soit pour le bien du monde ou pour pour nettoyer après ses clients riches quand ils foutent la merde. ♡ situation économique: richesse bien cachée sous ses allures de sdf. ♡statut social: fragile mdr ♡ groupe: sailor foune
tu es végétarien et wiccan, en communion totale avec la nature, que tu protèges de ton mieux. t'es d'ailleurs activiste pour une tonne de causes et tu fais du bénévolat, deux choses que tu caches pour préserver ton image d'iceberg sans cœur. tu pleures devant les dessins animés, surtout ceux avec des animaux, t'as bien chialé devant frère des ours. tu sniffes pas mal de coke pour qu'il n'en reste plus aux autres, histoire de les en préserver. t'es un nomade, tu vis dans ta caravane et tu y cultives un mini-jardin de marguerites et de cannabis. t'es un papa poule même si tu le caches bien sous ton air insensible et antipathique, t'as la fâcheuse manie de trop t'inquiéter pour les autres mais t'as appris à ne pas le montrer.
MY PERSONALITY
t'étais autrefois la bonne humeur incarnée. toujours souriant, radieux, tu te chargeais d'apporter la joie partout où t'allais. le bouffon de la bande, un mec drôle et attachant que ses amis appréciaient car il ne manquait pas d'affection à leur égard. t'es plus qu'une épave de ce type-là. t'étais trop bon, trop con, tu t'es fait avoir et tu veux plus jamais que ça se reproduise. alors t'es devenu la définition même du mot froid, antipathique, asocial. tu te laisses approcher par personne, c'est le meilleur moyen d'éviter d'être trahi de nouveau. méfiant comme tout, tu n'accordes plus ta confiance aux gens et quand tu es obligé de leur parler, tu te montres acerbe et sarcastique à souhait histoire qu'ils ne se fassent pas d'idées sur toi. t'es franc, peut-être même un peu trop et ça en déplaît à plus d'un mais t'en as rien à foutre, t'as plus rien à perdre. tu te fais juste discret pour qu'on te retrouve pas, tu parles jamais de toi et quand tu le fais, c'est en mentant. en vrai le rayon de soleil que t'étais a pas vraiment disparu, il est juste bien caché. toujours aussi loyal, tu ferais jamais à qui que ce soit ce qu'on t'a fait. t'es toujours là pour tes proches et même si tu le montres plus de la même façon, t'en as pas moins attentionné. quand on y pense, t'es toujours le même mec adorable, un peu maladroit et véritable bisounours, mais tu t'efforces de le cacher et de repousser tout le monde pour te protéger.
DO YOU USE EMOJIS ?
décris-toi avec 5 emojis: essaie de nous raconter une histoire en 10 emojis max:
♡ ♡ ♡ ♡
tu reçois un sms d'une pote qui demande des conseils parce qu'elle est certaine que son petit-ami la trompe, que fais/dis-tu ? j'ai pas de potes quelqu'un te touche le cul, tu réagis comment ? je lui brise la main. ou je hacke ses comptes de réseaux sociaux pour exposer ses secrets à tout le monde, ça dépend des jours classe par ordre de préférence ces boissons : vin, bière, whisky, café, thé, coca: whisky whisky whisky vodka thé
♡ ♡ ♡ ♡
les chansons qui te représentent:1, 2, 3 et4 les derniers emojis que tu as envoyés: j'envoie pas d'emojis si tu avais la possibilité de coucher avec la célébrité de ton choix, qui serait-ce ? ta mère
hackeur, fils de pute, bénévole à la soupe populaire
Mer 26 Oct - 20:20
story they call me coffee 'cause i'm hot and bitter.
– junyeop... haha, c'est quoi ce prénom de merde ? il est vraiment chelou lui ! les rires s'élèvent dans ton dos et toi, tu te contentes de soupirer. tu n'as qu'onze ans mais t'es déjà trop habitué à ces moqueries qui durent depuis tellement longtemps qu'elles ne te font plus d'effet. que ce soit pour ton prénom, tes origines, ou même tes lunettes. t'es toujours le centre des railleries, quoi que tu fasses, tu te fais trop remarquer pour qu'on te laisse tranquille. de toute évidence, tu ne seras jamais comme les autres.
– dépêche-toi, on risque de se faire attraper ! tu t'exécutes sans attendre, tu sais qu'elle plaisante pas. vous êtes pas censés être là, ni faire ce que vous êtes en train de faire, alors les conséquences risquent d'être déplaisantes si on vous trouve. vos pas pressés retentissent lourdement sur le pavé mais vous arrivez tout de même à vous cacher sans être remarqués. – t'es sûre qu'ils vont pas nous trouver là, megumi ? elle te fout un coup de coude et tu te tais aussitôt. moment de silence, puis vous voyez les flics dépasser la ruelle où vous vous êtes planqués et soupirez enfin de soulagement, satisfaits de votre discrétion et de leur incompétence. – putain, j'ai cru que j'allais y laisser ma peau... un rire moqueur te parvient aux oreilles et tu l'entendrais presque rouler des yeux aussi. faudrait que t'arrêtes de faire ta tapette un peu, junyeop. tu lui tires la langue et vous commencez à quitter votre planque improvisée, ton cœur battant toujours aussi fort dans ta poitrine. t'exagérais pas, pourtant. t'étais au bord de la crise cardiaque, tu pensais que cette fois serait la dernière. que ça se terminerait mal et que vous finiriez séparés l'un de l'autre. la simple idée te répugne. chaque jour vous prenez des risques plus gros que le jour d'avant. c'est pas bon pour ton cœur, t'as l'impression qu'il va lâcher à n'importe quel moment. mais tu troquerais ça pour rien au monde. c'est la première fois que t'as une famille.
il y a eux, puis il y a lui, aussi. (la suite plus tard jss pas d'humeur à être gay dsl) *** *** *** *** *** *** *** ***
– lève-toi, on se casse. tu grommelles, refusant de bouger. pas que ton lit soit particulièrement confortable, mais tu comprends pas pourquoi ton compagnon de cellule te réveillerait en pleine nuit. – putain de merde junyeop ! on a pas de temps à perdre alors bouge-toi si tu veux te barrer de cette taule ! il t'en faut pas plus pour être intrigué, et t'as à peine le temps de te retourner que le type t'arrache à ton lit et t'entraîne hors de la cellule qui est ouverte pour une raison qui t'échappe. tu comprends vite ce qui se passe quand tu remarques que t'es pas les seuls, que quatre autres détenus vous attendent. tu poses aucune question, tu te contentes de te laisser entraîner dans ce plan dont tu ignores tout. c'est peut-être un mensonge, une ruse, tu n'en sais rien, mais il l'a dit lui-même que vous n'avez pas le temps. alors tu saisis l'opportunité et tu fais ton chemin à travers les couloirs sombres avant que les alarmes ne retentissent. de toute façon, t'as plus rien à perdre. mais peut-être ta liberté à gagner. ta vengeance à prendre.
– putain tu fais chier... tu pourrais apprendre à faire tes putains d'opération sans foutre du sang partout nan ? ça m'étonne pas même qu'ils t'aient viré de l'hosto... tu jures à voix basse, certain que la demoiselle ne t'écoute même pas. tu regretterais presque de l'avoir prise sous ton aile, sur le coup le poids que son abandon aurait pesé sur ta conscience te semble beaucoup plus attirant que cette fout du sang partout sur son chemin – à n'importe quelle période du mois, en plus. – non mais c'est pas possible t'es vraiment une pas douée, j'en ai marre. tu passes tes nerfs sur le sol imbibé de sang, frottant vivement pour tenter de faire partir les tâches. que de mots rudes sortant de tes lèvres, pourtant, tu l'aimes bien au fond. t'as juste perdu ta faculté à être sincère avec les gens, leur montrer qui t'es vraiment. la dernière fois que t'as fait ça, t'as été déçu. trahi. t'as du te reconstruire à zéro. c'est ce qui arrive quand on se confie, quand on s'attache trop. comme on dit, trop bon trop con. alors forcément, tu essaies d'éviter que ça se reproduise. pourtant, ça t'a pas empêché de t'attacher à cette gamine depuis que tu l'as sauvée de la rue pour redonner un sens à sa vie. ni de revenir vers megumi dès que t'es sorti de prison, ravi de votre complicité réincarnée même si tu prétends ne rester à ses côtés que par reconnaissance. ça ne t'a pas non plus empêché de retomber dans les bras de sora presque aussitôt après l'avoir retrouvé. tu l'as laissé détruire tous les murs que tu as passé des années à bâtir autour et tu t'es laissé séduire sans méfiance ni doute, comme au bon vieux temps où cette peur d'être trahi ne planait pas au-dessus toi constamment.
tu baisses tes gardes le temps d'un câlin maladroit, un baiser chaste, une conversation dont les tons acerbes servent juste à déguiser un attachement que tu n'assumes pas et une affection que tu hésites à éprouver. ça te fait peur, à vrai dire. la possibilité que tu t'ouvres trop, que t'exhibes tes sentiments – tes faiblesses – tellement qu'on finira par s'en servir contre toi. encore. t'essaies de faire le dur, tu t'enfermes dans ta coquille de pierre pour te protéger même si au fond t'as juste une seule envie ; être capable de te fier aux gens comme tu y arrivais si aisément. alors de temps en temps tu te laisses afficher un petit sourire, lancer un mot sympa, faire un quelconque geste attentionné plus sincère et plus explicite que ceux que t'as l'habitude de faire pour ne pas avoir à exprimer ton affection ouvertement. juste pour cette fois, n'est-ce pas ?
Dernière édition par Imaichi Junno le Sam 29 Oct - 7:05, édité 1 fois
You have the sickness like your father had before you. He stifled it the only way he could. These mental perversions are an affliction of the extremely affluent. Cousins marry cousins to protect the money, to keep the estates whole. Inbreeding. Becomes a right of passage to have a psychotic or two in the line.
He didnt know what was defeating him, but he sensed it was something he could not cope with, something that was far beyond his power to control or even at this point in time comprehend
#143, APPARTEMENT LUXUEUX PERSONNEL À CHIYODA + RÉSIDENCE FAMILIALE AU 69 À MEGURO OU VOUS POUVEZ ÉGALEMENT ME RETROUVER LE PLUS SOUVENT DANS L'UNE DES CHAMBRES DE L'HÔTEL DES SATO ♥
emploi/études :
Il travail comme sous-direct de la grande marque de luxe N'Lux e futur pdg.
décore ton profil :
Ce gosse étrange c'est mon ptit frère alors don't touch si tu veux pas crever.
C'est mon bro, ma life, sans lui je me ferais chier comme un rat mort. I love you bro'.
Team Pirate Pirate un jour, pirate toujours
Jeu 27 Oct - 16:06
JTM PAS ! Eloigne-toi de mon petit-frère après j'pourrais t'aimer ! *sors* Nan mais bon retour ** !
CLOWN/PUÉRIL PAR MOMENT SOCIABLE QUAND TU VEUX BON BOSSEUR ENTREPRENANT EN CE QUI CONCERNE LE TRAVAIL OUVERT D'ESPRIT CHARISMATIQUE CRÉATIF AMICAL (DES FOIS) INTELLIGENT JOUEUR FOURBE/RUSÉ MOU DES FOIS CAFARDEUX DÉBAUCHÉ FRANC EXUBÉRANT OU DISCRET VULGAIRE BOFF ATTITUDE TROP VITE DÉSINTÉRESSÉ TROP CHAUD LAPIN OU TROP FROID CHARMEUR GAFFEUR HAUTAIN RAGEUX ANTICONFORMISTE INSOLENT PERSÉVÉRANT À EN DEVENIR TÉTU RATIONNEL PARFOIS SPIRITUEL APRÈS LA DÉFONCE TAQUIN VOIR À TENDANCE SADIQUE.
Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.
LES ENFANTS OBJETS QUI NE VOULAIENT PAS ÊTRE MARIÉS
Sam 29 Oct - 19:09
mon homme à tout faire ton avatar me tue les yeux tellement qu'il est beau