❝ We awake in the shadow of the city, the incubi that made you hungry, playing dreamy melodies from caskets shrouded in darkness. Ominously throwing back our shoulders, we spit. When children are dreaming in the city ruled by neon lights I smile scornfully at the funeral processions of the corpses who sought delight. ❞
♡ âge: 29 ans ♡ date/lieu de naissance: 01/02/87 / Sapporo ♡ nationalité et origines: 100 % Japonais ♡ orientation sexuelle: Homosexuelle, définitivement ♡ métier: Propriétaire du Belphegor, bar spécialement réputé chez la communauté homosexuelle et travestie ♡ situation économique: L'argent ne semble pas être un problème pour lui ♡statut social: En couple avec le batifolage ~ ♡ groupe: Animal Crossing
Il aime le chocolat noir et les fraises ; les deux seuls aliments auxquels il trouve quelque chose de sensuel † On compare souvent ses attitudes à celle d'une chatte en chaleur ; on ne contrôle ni ses besoins, ni ses hormones, voyez-vous † Sa bouche sourit beaucoup ; pas ses yeux † Il aime bien écouter les aventures de ses clients autour d'un verre du scotch ; il a toujours l'occasion d'en réconforter quelques uns à sa manière † Il a un sorte de fétichisme pour les tatouages, il a toujours besoin de s'en faire de nouveaux ; reste à savoir si c'est dans un but esthétique ou par simple plaisir de sentir l'aiguille sur sa peau † Ses penchants masochistes auraient fait fuir plus d'une personne ; il est cependant convaincu qu'il trouvera chaussure à son pied † Il vénère deux choses en ce monde : lui et le sexe † Il n'aime pas les températures trop extrêmes ; le froid l'affaibli et le chaud fait couler son mascara † Il n'a d'intérêt que pour ce qui est unique ; très peu pour les "autres", en somme
MY PERSONNALITY
Fascinant ; voici certainement le premier mot qui viendrait à l’esprit de ceux qui tenteraient –triste métier- de définir le personnage de Masamune. Ce dernier paraît en dehors de toutes catégorisations ; de toutes choses. On pourrait le percevoir comme à mi-chemin entre deux univers, perdu aux frontières de la réalité et du rêve. Il n’est non pas « entre » ; simplement « au dessus » de tout cela. Bien au dessus des mots, au dessus des frontières ; déjà « autre chose ». Du moins aime-t-il le penser ; s’en persuader.
Masamune ne serait rien sans sa mégalomanie ; l’orgueil, l’admiration qu’il éprouve pour sa propre personne : pour l’image qu’il pense, et qu’il essaye –tant bien que mal- de donner. Il reste malgré tout discret quant à cette estime particulière qu’il éprouve envers lui-même ; jamais il n’en fera par à qui que ce soit. Il n’exprime d’ailleurs que très rarement ses propres pensées ; pensées qui se révèlent pour le moins embrouillées : confuses. Masamune pense beaucoup. Peut-être trop. Délicates reliques de son adolescence meurtrie, qui l’écœurent tout autant qu’elles l’enivrent.
Sa bouche pourrait se fendre en un large sourire à l’instant même où son regard se ferait assassin : au aucun cas, Masamune ne se résumerait à « un » ; une unité, un tout. Masamune ne se résume tout simplement pas. Cependant, il ne faudrait croire qu’il s’en retrouve pour autant divisé. Il est ; existe. Et jamais –jamais- il ne viendrait à se définir. Son être est entraîné dans une quête perpétuelle : il ne peut que devenir. Devenir « autre » , encore une fois. Inconsciemment, il s’agit d’une façon d’échapper à la réalité, à sa condition. De reconnaître qu’il est, après tout, comme tout le monde ; tous ces gens normaux. Ces gens qui se résument à vivre, qui s’efforcent de le faire, tout en voulant garder cette fameuse dignité humaine ; celle qu’il ne comprend et ne dispose pas. Ne partage pas. Masamune aimerait être autre qu’un homme ; non pas un héros mais un Dieu.
De la sorte, il était tout bonnement impensable que Masamune reste « banal » : c’est certainement ce que témoigne son apparence toute particulière. A nouveau indéfinissable. Ni réellement un homme, pas tout à fait une femme. Un « entre-deux » pour les gens, un « autre » pour lui. Attirant pour certains, abominable pour les autres. Masamune ne cherche pas le « beau » : il cherche l’unique ; quelque chose de plus fort, quelque chose de plus poignant. Il veut être vu, regardé, observé. Peu lui importe l’admiration ou le mépris ; il ne vit que pour lui. Déjà, il n’a plus à prouver quoi que ce soit. Il fait de son corps la vitrine de son esprit ; celui-ci est marqué de parts et d’autres, recouvert d’arabesques étranges, de chiffres et de créatures, orné d’innombrables piercings, mutilé parfois. Plus que son corps, il vénère bel et bien sa personne, son esprit. Et il constate, avec une satisfaction jubilatoire, qu’il est parvenu à transcender les limites mêmes de son enveloppe corporelle ; né mâle, il parvient à aller contre sa nature, rejette les femelles. Son corps représente malgré tout l’unique moyen d’accéder à son seul vice, celui qui le rapproche des bêtes.
Masamune dispose d’un appétit sexuel se révèle insatiable ; il ne peut nier sa nymphomanie aiguë, de la même façon qu’il ne cherche pas à la refouler : disposer de son corps comme il l’entend et par simple caprice lui semble être un privilège qu’il peut se permettre, contrairement à cette misérable femme[ /i]. Aussi, la nature de Masamune est d’un masochisme délirant ; il apprécie particulièrement la violence : il lui serait impossible de concevoir le sexe d’une autre manière. Peut être impossible de concevoir l’amour. Il ne reconnaît que l’extase, ce qu’il y a de plus profond, de plus poignant. Une extase inhumaine ; une extase vers le bas. Lourde et étouffante. Celle qui le rapproche au plus près de sa propre existence ; le sexe est l’unique moyen de prendre pleinement conscience de son être.
Outre cela, le rapport de Masamune vis à vis des autres reste pour le moins obscur. Il n’aime réellement ni ne hais totalement. Il observe avec rêverie les autres, comme s’il était à part. Aux yeux de tous, il n’est qu’un extravagant, insaisissable. Ses paroles n’ont pas à suivre un cours logiques ; il en est de même pour ses actes. Il est irrationnel, en dehors de la réalité. Son être lui-même pourrait sembler incertain ; Masamune n’a pas de visages définis, ce qui perturbe bon nombre de gens. Encore une fois, il ne se limite pas à une apparence. De la sorte, jamais il ne montrera son visage « naturel » ; peut-être car il s’agit de celui que sa génitrice lui a transmis. La couleur de ses yeux ne restera jamais telle quelle du jour au lendemain, à l’instar de son maquillage si lourd qu’il s’apparaîtrait tant et si bien à un véritable masque. Masamune s’en retrouve parfois chimérique, surréaliste. Il ne peut suivre une seule et même ligne continue.
Et, quelque part, barricadée au plus profond de son être, se trouve une forte instabilité dont lui-même ignore l’étendue.
Une fragilité qui le détruira.
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tu reçois un sms d'une pote qui demande des conseils parce qu'elle est certaine que son petit-ami la trompe, que fais/dis-tu ? Je me porte volontaire pour aller tester la soi-disante fidélité du copain en question et ... advienne que pourra quelqu'un te touche le cul, tu réagis comment ? Je me mets à pousser un long gémissement afin de notifier son geste aux gens qui nous entourent ; ma réputation n'est plus à refaire. La sienne, en revanche ... classe par ordre de préférence ces boissons : vin, bière, whisky, café, thé, coca: Whisky > Vin > Café > Thé > Coca > Bière
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les chansons qui te représentent:これを依存と呼ぶなら Mr.レインは死んだふり 盈虧 羽花 les derniers emojis que tu as envoyés: si tu avais la possibilité de coucher avec la célébrité de ton choix, qui serait-ce ? Pourquoi une célébrité ? Moi-même me suffirait amplement
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choisis un membre dans le qeel qui attire le plus ta curiosité:Hideki Takumi montre la plus belle photo de toi:cheesecake !
bébé ... INCUBUS / 夢魔 18 ans
Hey ici Incubus, petit démon ange aux tendances surprenantes et en cruel manque de rp ... J'espère que mon Mama se trouvera une place parmi vous en dépit de son caractère et physique quelque peu marginaux ! Il faut pas croire, il est très ouvert aux autres ! enfin surtout son lit, mais .. Donc voilà, je compte bien vous vendre du rêve ! Sinon j'aime le rouge mais surtout le noir, j'ai pas de poisson rouge, mais plein d'amis dans ma tête et tellement que je pourrais pas dire tous les noms ici, puis j'aime les ananas, enfin surtout les oranges, mais me parlez pas des bananes .. (et qui a dit que cette dernière partie était douteuse ?) Sinon...je voudrais bien signer chez les Animal Crossing, s'ils m'acceptent (et non non non, ce n'est pas pour suivre Asusu-chou ). J'ai hâte de m'amuser avec vous ! #aimezmoi #attentionvosfesses
Story is my Life "God laughs because suffering is a human thing"
C’était facile. On oubliait vite. On s’habituait. C’était normal : ça avait fini par le devenir avec le temps. Les larmes s’étaient taries ; tout comme les sourires. Il ne restait plus qu’une passivité morbide, une atmosphère moite, figée. Les émotions elles-mêmes avaient disparues. Il ne restait définitivement plus rien.
Il avait appris à se taire. A force de coups. A force d’insultes, de mots ; des mots acérés, blessants, qui coulaient à la vitesse du venin qu’elle lui crachait. A force de regards ; meurtriers parfois –souvent. Puis à force d’indifférence. Indifférente ; elle avait fini par le devenir. Il n’existait même plus. La haine viscérale qu’elle ressentait à son égard avait mué en quelque chose de plus fort ; quelque chose d’ultime. Elle avait fini par l’oublier. Simplement. Elle avait oublié son propre enfant ; la plus flagrante de toutes ses erreurs. Certainement la plus belle.
Masamune n’était jamais parvenu à l’accepter ; il y était simplement forcé. Dans leur minuscule appartement, tous deux semblaient vivre sans se voir. Elle habitait avec un véritable fantôme : un esprit errant qu’elle refusait de voir. Il vivait par ses propres moyens et d’aussi loin qu’il pouvait s’en souvenir, il l’avait toujours fait. Elle ne se souciait pas de savoir comment il allait, comment même il trouvait le moyen de se nourrir. De la même façon qu’elle devait ignorer le lycée qu’il fréquentait ou bien encore l’âge qu’il avait. Lorsqu’elle ramenait ses clients chez elle –chez eux– il avait pris l’habitude de s’enfermer dans le cagibi qui lui servait de chambre. Enfant, cela l’avait déconcerté ; adolescent, il y était devenu hermétique. Plus rien n’importait. Il se contenait de vivre. Cela lui suffisait. Il le pensait.
Puis un jour, bêtement, il avait oublié. Oublié de refermer la porte derrière lui, de se cacher. Oublié de jouer les fantômes. Elle n’était pas là ; peut-être sortie pour acheter quelques chose ; sûrement. Mais lui, un de ses innombrables clients, était resté. Et il l’avait vu. Il n’avait pas écouté ce qu’il lui disait. Il était resté de marbre alors qu’il découvrait sa peau et passait violemment sa main dans ses cheveux de jais. Masamune ne ressentait pas même le dégoût ; juste une émotion diffuse qui pesait dans sa poitrine, engourdissait ses sens. Il n’y avait plus que cette pensée, quasi-inexistante, qui se noyait dans la brume de son esprit : pour la première fois depuis longtemps, quelqu’un le voyait. Puis elle était rentrée. Ce fut la première fois depuis des années qu’elle daigna poser les yeux sur lui ; ils étaient remplis de haine. Il avait innocemment soutenu son regard, le lui rendant avec passiveté. Et il réalisa, comme dans un éclair, qu’il la trouvait laide. Elle lui apparut soudainement misérable, avec sa tenue bien trop provocante –ridicule- et son visage dissimulé derrière d’innombrables couches de maquillages afin de cacher les répercussions que le temps avait sur elle. Définitivement, elle était bien laide ; vieille. Et, en le contemplant, elle le réalisait aussi. Elle en fut jalouse. Entra dans une colère noire.
Elle avait dit ne plus jamais vouloir le voir ; elle voulait le tuer, avait tenté de le faire. Masamune n’avait pourtant pas eu peur, même lorsqu’elle s’était jetée sur lui comme une démente, agrippant tous objets susceptibles de le blesser. Seuls ses faux ongles étaient parvenus à griffer, superficiellement, sa peau nue. Son client avait fini par s’interpose, l’empêchant de commettre un acte dont l’étendue la dépasserait. Elle avait pleuré avec toute la disgrâce dont elle était capable. Elle avait hurlé qu’il lui devait tout, que son visage lui appartenait, qu’il n’existait que grâce à elle. Puis dans un spasme nerveux, elle avait craché qu’il était la plus grande erreur de toute sa vie. Quelque chose s’était brisé. Il avait parfaitement entendu ce bruit interne, qui semblait provenir de sa poitrine. Il s’était senti étouffer. Puis, la regardant une nouvelle fois, la redécouvrant plus pitoyable qu’il ne l’avait jamais vu, il avait souri. Avait ri aux éclats.
†
Il n’avait pas hésité à partir, tout quitter. Il n’avait jamais eu d’attaches, il n’avait jamais existé dans sa ville natale. Ce fut sans regrets qu’il laissa derrière lui la région glacée d’Hokkaido et son passé.
Il avait fini par réaliser qu’il la détestait. Elle, la mère, la jalouse ; la femme. Il y pensa un moment, finit par oublier. Il s’était soigné à coup d’orgueil, réalisait qu’il était bien au dessus d’elle et des « autres » ; bien au dessus d’eux. Lui qui s’était ignoré se découvrait avec émerveillement. Il était jeune, intrépide. Il avait appris à ne pas ciller lorsqu’il dévisageait quelqu’un, avait compris qu’il obtenait tout ce qu’il désirait en adoptant une certaine attitude. Il n’avait pas froid aux yeux. Il avait fini par se sentir surpuissant, ivre de sa propre personne. Il ressentait. Enfin. Il ressentait les sentiments jouissifs que pouvait lui conférer sa propre existence. Son monde gravitait autour de lui. Il était le témoin, le personnage central de sa propre vie ; une grande scène de théâtre dont il était l’unique acteur. Le genre humain, fade et sans intérêt, « commun », le dégoûtait : il se persuadait qu’il était différent ; qu’il était une sorte de Dieu. Et il se laissait glisser dans cette certitude avec délice. De la sorte, il vint alors le besoin excessif de se faire désirer. Il n’y avait rien de plus réelle que la chaleur torride des corps, le plaisir de la chair ; l’agréable vertige qui lui vidait la tête et annihilait tous ses sens : ce n’était que dans ces moments-là qu’il semblait prendre pleinement conscience de sa propre existence, de son propre corps. Et, il aimait réaliser qu’il ne consommait que par ce simple caprice ; qu’il pouvait se le permettre. Encore une fois, l’image de cette misérable femme contrainte de se vendre pour vivre le faisait sourire avec orgueil. Il ne vivait pas. Il existait réellement. Puis, vint la volonté d’accomplir : créer, déformer, modeler selon ses propres désirs. Masamune avait la folie des grandeurs. Son corps était une pièce d’art : il œuvrait chaque jour à le parfaire : rien n’était plus excitant que de le recouvrir d’encre indélébile, le perforer de part et d’autre ; le récréer à son image : il ne pouvait se résoudre à rester tel qu’[i]elle l’avait fait. Sa plus grande fierté fut sûrement de se faire trancher la langue en deux par un de ses nombreux amants, au beau milieu de leurs ébats.
†
Avant même de le réaliser, il se trouva dans la région du Kantô, et plus vite encore à Tokyo, ville qui lui était définitivement dédiée. Il aimait cette jungle urbaine et surréaliste, démesurée, à l’instar de ses fantasmes. Il aimait ces quartiers débauchés, sordides, toute cette misère éclairée par les lumières artificielles, tous ces gens, humains et pitoyables : toux ces autres qu’il méprisait avec délice. Masamune n’avait pas même vingt ans, lorsqu’il fut amené à travailler avec la pègre japonaise. Il n’y avait rien de plus exaltant que de jouer aux côtés de ceux qui avaient le pouvoir. C’était le goût du risque, de l’illégalité. L’affirmation totale d’une existence supérieure.
†
Les années passèrent. Masamune fut amené à lever le pied, sans néanmoins couper tous liens avec certaines familles influentes parmi les yakuza. Plus que d’agir, il aimait à présent regarder : contempler. Il avait besoin de se détacher de toutes ces affaires –humaines- qui l’indifféraient. Il se mit donc à investir une bonne partie de sa fortune dans un seul et unique projet : le Belphegor; un bar qui se revendiquait en grande majorité comme dédié à la communauté travestie et homosexuelle de la capitale nippone. Masamune désirait un lieu à son image ; un univers à la hauteur de ses fantasmes. C’est donc sous ses fards ombragés et le pseudonyme de « Mama » qu’il passe ses nuits à distraire ses clients et admirer les déboires de cette fameuse condition humaine ; celle à laquelle il n’appartient pas.
Dernière édition par Ame Masamune le Jeu 3 Nov - 9:14, édité 4 fois
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Mar 1 Nov - 22:50
bienvenue -bon retour parmi nooooooous ! comme j'ai dis à ton charmant camarade asuka, ton avatar comme le siens... je ne m'y ferais jamais tellement je suis dans l'émotion en tout cas... oulala (oui c pas français et alors?) courage pour ta fiche
ame masamune a écrit:
Sinon...je voudrais bien signer chez les Animal Crossing, s'ils m'acceptent
chanteur qui se prostitue plus ou moins sur scène dans le bar du Belphégor. voyant aussi, parce qu'il dit pouvoir prévoir les choses. et il accepte le travail au noir pour compléter les mois. c'est déjà pas mal.
Mar 1 Nov - 22:58
Coucou toi, comme prévu je suis au rendez-vous sur ta jolie petite fichette
J'ai hâte de relire la personnalité et l'histoire de Mama
❝ We awake in the shadow of the city, the incubi that made you hungry, playing dreamy melodies from caskets shrouded in darkness. Ominously throwing back our shoulders, we spit. When children are dreaming in the city ruled by neon lights I smile scornfully at the funeral processions of the corpses who sought delight. ❞
Isao > Merci beaucoup pou ton accueil ! Je suis contente de voir que nos avatars font sensation, et j'espère aussi le faire de par ma fiche Encore un grand merci, j'espère terminer ma fiche très prochainement ! Et merci de m'accepter dans votre groupe, je serai sage, promis ...ou pas
Asuka > Asusu-chouuuuu~ ! Espérons que cette version 2.0 te plaira, je vais faire de mon mieux Eh oui, évidemment ! Garde moi une place au chaud le temps que j'arrive
❝ We awake in the shadow of the city, the incubi that made you hungry, playing dreamy melodies from caskets shrouded in darkness. Ominously throwing back our shoulders, we spit. When children are dreaming in the city ruled by neon lights I smile scornfully at the funeral processions of the corpses who sought delight. ❞
Junno > Merci beaucoup ! J'espère bien me faire une petite place, oui et j'aime déjà ce forum, donc il est évident que je vais m'y plaire !
Ichiro & Anzu > Un grand merci à vous deux
Dernière édition par Ame Masamune le Jeu 3 Nov - 14:24, édité 1 fois
Invité
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Mer 2 Nov - 14:34
awww je vais pouvoir à nouveau stalker le mama/asuka vive les versions 2.0 et je s'rai toujours la plus grande fan de mama bienvenue par ici, contente de t'y retrouver. (et ouioui c'est nono avec une autre tête)
❝ We awake in the shadow of the city, the incubi that made you hungry, playing dreamy melodies from caskets shrouded in darkness. Ominously throwing back our shoulders, we spit. When children are dreaming in the city ruled by neon lights I smile scornfully at the funeral processions of the corpses who sought delight. ❞
BIENVENUE A TOI OOH JOLI GARÇON PLEINS DE CHARMES !! Amuse toi bien ici !
WELCOME!
ANIMAL CROSSING T'ATTENDS
félicitations, tu viens d’être validé(e) chez les animal crossing ! sors ta pelle, ta canne à pêche et ton filet, parce qu’ils vont avoir besoin de ton aide pour entretenir la ville ! tu vas pouvoir rejoindre le flood des verts les aider à arracher toute les mauvaises herbes. a plusieurs, ça va plus vite ! avant toute chose, on te demande d’aller poster ton activité rp ici ! ici ! c’est primordial, parce que si tu l’fais pas, ben nous on sait pas si tu joues ou si tu glandes ! du coup, à la fin du mois, tu risques d’être en danger, perdre tous tes pokémons, ton dur labeur… et on est sûrs que t’as pas envie de ça ! par la suite, tu pourras commencer à gérer ton personnage ! créer sa fiche de liens pour qu’il s’fasse plein de potes, lui trouver un petit nid douillet (à part si tu veux qu’il dorme sous les ponts :hm : ) et même créer ses réseaux sociaux ! pokedex téléphone, instagram… parce que nous on est d’la génération y tavu. tu pourras aussi créer tes scénarios, tes pré-liens, tout c’qui pourra t’aider à l’évolution de ton personnage… t'as juste à cliquer sur les petites icônes en dessous de ce message ultra barbant dont tu ne vois pas la fin i love you !
e&c, c’est ta nouvelle maison, t'es ici chez toi maintenant ! alors envole-toi, petit papillon ! et si tu as besoin de quoi que ce soit, tes maîtres admins, comme lori, seront toujours là pour toi. on te remercie d’avoir choisi e&c, en espérant que tu t'amuses comme un malade parmi nous !