Jack a coulé, toi t'es sur ta porte flottante à côté des glaçons.
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Il aggrave mon cas...
Merci toi.
Jeu 3 Nov - 18:57
Kanto & Keishi
Time.
« Faites uniquement ce que vous avez envie d’assouvir avec moi. » Assouvir… La réponse de Kanto interpella l’héritier. Il n’y avait pas à dire, il avait vraiment sa façon de parler, une manière que Keishi adorait énormément. Le jeune homme se donnait l’air candide, un air si innocent que c’en était presque effronté. Jamais Keishi aurait pensé rencontrer une telle personne, jamais il n’aurait pensé que cela puisse exister. « Ce que j’ai envie ? » Il fit mine de réfléchir un instant, mais déjà tout était décidé, il était juste patient et il aimait scruter, décrypter tous les recoins du visage poupon de ce jeune adulte. « Bois un peu. » Alors l’héritier attendit que le cadet s’exécute sans jamais décrocher son regard de lui, sans jamais que ses paupières robotiques ne défaillent. « Je veux savoir quel goût à cet alcool sur tes lèvres. » Curiosité à deux balles et pourtant si sincère. Ces lèvres pulpeuses l’attiraient depuis leur première rencontre, et ce soir, il se donnait le droit d’en faire ce qu’il voulait, d’ailleurs il se donnait le droit de faire ce qu’il voulait de Kanto, tout court. « Approche » souffla-t-il d’un ton suave mais toujours autoritaire. Il donnait l’ordre implicite à Kanto de poser ses lèvres sur les siennes. Satisfait, Keishi pressa alors ses lèvres plus fermement contre celles du Japonais lorsque celui-ci se décida à exécuter l’ordre. Mais il ne fit rien de plus, il ne permit pas aux langues de se rencontrer. Un sourire espiègle et fier aux lèvres, il se recula, omettant de préciser s’il avait apprécié ou non ce goût dont il était fort curieux auparavant. Sa main libre vint titiller alors l’un des boutons de chair dénudé de son hôte, d’abord délicatement comme une brise avant d’y maintenir une emprise ferme mais non violente, juste pour faire passer le temps. « Si tu en veux plus, va falloir me le montrer. » Et de toutes manières, le directeur ne comptait plus le lâcher avant d’avoir obtenu ce qu’il désirait en son fort intérieur.
chien de garde la nuit et étudiant en langues le jour
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murder lives forever and so does war. It's survival of the fittest : richagainst the poor. At the end of the day, it's a human trait, hidden deep down inside of our DNA. is it running in our blood, is it running in our veins, is it running in our genes, is it in our DNA. humans aren't gonna behave, as we think we always should. we can be bad as we can be good.
Mar 8 Nov - 18:09
Kanto n’avait pas touché à des bras aussi forts depuis quelques semaines maintenant, s’adonnant à des plaisirs plus simples et davantage de son âge. Il avait marqué une certaine pause dans les combats, et dakota ne l’appelait plus pour un oui ou pour non. le japonais faisait bien son travail, et donc on le laissait tranquille. Pour l’heure du moins. Il avait pourtant été demandé auprès de ce jeune entrepreneur, et c’était avec un certain plaisir qu’il avait passé le pas de cette porte. Ce lieu respirait le pouvoir et c’était une sensation qui l’attirait davantage depuis que keishi le regardait de ses yeux de jais. Le plus petit était pourtant là, installé sur des cuisses musclées et sirotant un alcool beaucoup trop important par rapport à lui. il levait ses paupières pourpres vers l’ainé et trempa ses lippes dans l’élixir. Ce que lui demanda par la suite son hôte électrisa discrètement l’enfant. alors ce sera de cette façon qu’il pourra enfin savourer, dans un plaisir muet, ce contact anodin pourtant si précieux pour lui. le gamin se redressa légèrement et entra en contact avec cette bouche qui avait esquissé un sourire juste avant. c’était bref mais doux, et assez chaud pour décontenancer le môme qui, les joues rougies, laissa une perle de whisky sur la lèvre supérieure de keishi. Félin, kanto frotta son front contre l’épaule du tout-puissant, entrouvrant la bouche pour exprimer un peu plus fort son désir envers le bellâtre qui torturait habilement son mamelon. Lui montrer ? devait-il réellement lui faire voir à quel point cet homme le rendait délicat et sensible ? c’était un ordre qui ne dérangeait en rien l’étudiant. Il se glissa alors à califourchon sur les jambes de son souverain et posa son verre sur la table qu’il eut peine à atteindre. Il allait l’avoir facilement, mais il allait le posséder pleinement. Ses mains attrapèrent son propre haut qu’il retira d’une traite. Le petit voyou chiqua doucement la lèvre de keishi entre ses canines et la mordilla un instant tandis que ses phalanges s’accrochèrent aux épaules larges de ce dernier. C’était un appel. Un appel malsain que lui lançait le plus jeune.
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Ven 18 Nov - 23:22
Kanto & Keishi
Time.
C’était un plaisir malsain, tordu et noir que d’aimer dominer ce jeune homme, que de se sentir maître de la situation. C’était un jeu pervers qu’il venait d’instaurer, un jeu pour lequel il devrait avoir honte, et pourtant c’était bien une sensation électrique et plaisante qui naissait au creux de ses reins. L’étrangeté de ce jeune homme, presque inconnu pour l’héritier, le grisait et le rendait de plus en plus curieux, plus en plus envieux de le dévorer. Keishi se faisait carnivore féroce et vorace et Kanto était sa brebis juteuse et savoureuse. Le directeur appréciait la docilité de l’étudiant, son air d’égaré permanent, d’égaré même dans un lieu connu. Kanto lui donnait l’impression d’avoir été jeté sur terre contre son gré, sans repères et sans l’espoir d’un jour trouver une voie. Il donnait au plus vieux, un sentiment chaleureux, une envie de le prendre dans ses bras et de lui donner une voie mais aussi une envie de le posséder entièrement, autant corporellement que mentalement, sentiment égoïste, surtout que Keishi était plutôt versatile. Il observa alors silencieusement l’effeuillage que lui offrait le jeune homme, il savourait la vision de ce corps frêle et encore vigoureux. L’héritier se laissa happer par les dents de Kanto, ses yeux se fermèrent tandis qu’un soupir satisfait franchit ses lèvres captives. Keishi aurait pu fondre dès l’instant, se laisser aller aux joies du plaisir charnel, mais il ne s’écoutait pas. Il avait encore envie de jouer un peu plus. Il voulait voir jusqu’où pouvait aller le brun. « Ce n’est pas suffisant. »
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Jeu 24 Nov - 17:09
Sous ses gestes naturels et habiles, kanto sentait son emprise se refermer au fur et à mesure qu’il se trémoussait contre keishi, sans comprendre de suite, qu’il se soumettait volontairement à cet homme avec plaisir. L’enfant avait été déjà suffisamment dressé par rei, mais la situation actuelle était bien différente. L’héritier n’avait absolument rien exigé du sbire, mis à part sa discrétion certaine. On pouvait clairement affirmer que le marmot s’était offert à son hôte, jouant de ses légers charmes anodins pour le faire craquer ; comme s’il lui demandait discrètement de l’accepter, de le chérir à sa manière. Et pour son plus grand désir, il sentait que son jeu allait, pour une fois, dans son sens, et ainsi, keishi était certainement sur le point de craquer, pour lui. mais une fois de plus, la victoire glissa des mains de kanto alors que l’homme grogna son insatisfaction. Le moins que l’on puisse dire c’était que le gosse lui offrit un sourire presque paradoxal à la situation mais, il aimait les personnes autoritaires et sévères, qui caressaient son corps avec ou sans délicatesse et qui lui offraient occasionnellement des preuves d’attachement. Alors oui, ce reproche fit frissonner le plus jeune qui, dans une hâte assurée courba l’échine pour atteindre le torse encore couvert de keishi. Il priva le riche garçon de son tissu qu’il souleva, venant attaquer de ses canines, encore une fois, les boutons de chair du don juan. S’il avait commencé à toucher le gamin par-là, il devait certainement dissimuler une certaine sensibilité à cet endroit. et le chiot commença à jouer ; embrasser, savourer, mordre ce ton légèrement brun et bientôt rouge et humide sous les traitements de kanto. Mais c’était mal connaitre le petit pour penser qu’il se contenterait de torturer les billes du puissant. Une main se glissa elle contre les pans de son pantalon, tirant alors à nouveau sur le vêtement qu’il désirait plus que tout retirer. Il voulait que keishi devine, comprenne, qu’il était atrocement désiré par cette âme perdue mais qui était certaine d’une chose dorénavant : le bellâtre avait une influence considérable sur le plus jeune, et ce, dès qu’il avait posé ses prunelles foncées sur lui.