Kim Jong Hyeon + @ivana la douceur samer ; icônes @ethereals +VICTOR HUGO LA BOTEY
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meguro. ça pue le luxe et les enculés. numéro 14, la porte est ouverte à qui le mérite.
emploi/études :
étudiant, pourtant dans l'entreprise familiale nasu, sauf que c'est une façade qui cache des trafics mafieux et autres affaires illégales.
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HIROSHI DOIT VIVRE PUTAIN DE SAMER (oui, pas sa mère)
Mar 15 Nov - 19:17
we're going on a trip 'orgie' ft ghibli
Une lettre déposée devant sa porte. Comme un présent, un cadeau ou bien une menace. Parce que les Nasu trempent dans des affaires douteuses. La mafia et leur famille, c’est la même chose. Takumi prend l’enveloppe avec précaution. On lui a appris à se méfier de tout. C’était une règle implicite balancée avec leurs paroles. Tous se devaient d’agir avec une parano défiant toute autre, non pas par niaiserie mais instinct de survie. Il récupère donc l’enveloppe à l’odeur plaisante. L’envoyeur a dû la parfumer. Ça sent bon, c’est tout ce que Takumi peut dire. Il est incapable de décrire ce qu’il sent. d’ailleurs, ce n’est même pas important. Sur ses gardes, il l’ouvre avec délicatesse. Après une inspection minutieuse, il se porte sur le contenu. Putain. Il souffle, se maudit. Tout ce suspens pour ça. Sérieusement ? Il se sent profondément débile. M’enfin, ça reste louche malgré toutes les couleurs qui l’agressent. « Vous avez gagné un voyage (….) » blablabla. c’est long tout ça. (*WINK*) Takumi arrive enfin au bas de page. Il y a une date indiquée, un lieu de rendez-vous et de petites instructions. Tout est gratuit, payé. Des billets étaient agrafés à la lettre. Ce message est réellement étrange. On dirait un piège. Trop beau pour être vrai ? Takumi pourrait très se payer un voyage, pour lui, c’est comme un paquet de chips : pas cher. Mais l’idée de partir à l’aventure l’emballe. Cette lettre l’intrigue et il veut savoir ce qui se cache derrière. Piège ou pas, il va se casser pour le découvrir.
C’est fermement résolu qu’une semaine plus tard, il s’est retrouvé le cul dehors. Ouais, dehors bien dehors à attendre ce bus à la con. Si tenté qu’il y ait eu un bus et que ce ne soit pas une grosse arnaque bien vicieuse. Takumi restait sur ses gardes, une vigilance à toute épreuve. Il avait emmené quelques affaires. Ça devait durer plusieurs jours. Il ne savait pas vraiment dans quoi il s’embarquait. Ça puait le plan foireux, comme d’habitude. Mais lui, il avait toujours le chic pour tomber dedans. Nid à emmerdes mais bon, les années l’y avaient habitué. Le gosse, il cherchait du regard des gens aussi perdus que lui. d’autres qui auraient pu recevoir cette lettre cheloue il y a une semaine. Il avait besoin de compagnons pour ce voyage à l’allure suspecte mais pourtant intrigante.
réponses courtes pour se faciliter la vie, longues si t'en as envie, viens comme tu veux bb
Dernière édition par Nasu Takumi le Lun 19 Déc - 13:53, édité 1 fois
cerberus. madone des toxicos et des putes. arme pensante.
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DARK WORDS
quand junno pense à son futur si j'avais pas été là
quand anna veut qu'j'lui passe un peu d'mon fric
"keishi x megumi? im-po-ssible"
Dim 20 Nov - 22:34
tailleur sur mesure noir, les lunettes de soleil de la même couleur, le téléphone aussi. le cul tranquillement posé sur la petite valise que tu allais trimbaler, tu dénotes un peu trop du décor. t'as le profil d'une femme d'affaires supposée attendre dans une bagnole cher payée, aux vitres teintées, avec ta longue queue de cheval et ton vernis bien fait. en vrai tu te sapes jamais comme ça, enfin pas souvent, de ton propre chef. si personne dans ton entourage ne connaissait l'expéditeur de cette lettre, tu avais préféré la jouer professionnelle, inaccessible. prends des vacances!, ça te changera des boîtes!, t'façon tu sais pas te détendre! ouais bien sûr. quelle idée franchement. de toute façon t'étais déjà là, dans ton coin, le dos contre l'abribus, bras croisés, à dévisager les gens derrière tes verres. y'en a un (@Nasu Takumi) qui cherche son chemin, une ligne, un stop. celui-ci tiens. on dirait bien que ce voyage offert ne se limitait pas aux classes moyennes, que tu n'étais pas la seule friquée du coin. mais tu n'es pas de ceux qui causent avec le sourire aux premiers venus. tu n'es pas au boulot, tu n'es pas en soirée. rien ne t'y oblige, rien du tout. puis vient l'envie de fumer, en attendant. la clope aux lèvres, sur le point d'allumer, tu abandonnes l'idée dans un soupir, te rappelant qu'ici il fallait bouger dans une zone réservée. shit.
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meguro. ça pue le luxe et les enculés. numéro 14, la porte est ouverte à qui le mérite.
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HIROSHI DOIT VIVRE PUTAIN DE SAMER (oui, pas sa mère)
Lun 19 Déc - 14:01
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et il a les yeux qui se perdent. il se demande ce qu'il fout là. clairement. m'enfin, il aimait bien s'amuser, c'était certain. mais poirauter comme une bite là, ici, pas franchement. il s'est finalement arrêté. peut-être qu'à force de bouger, il y voyait plus très clair. et y'a eu cette femme. la déesse, perchée. dos contre l'abribus, pas de ce monde. probablement du sien. ça se voyait. elle dégageait ce truc de bourge. du moins, c'est qu'il pensait. elle faisait tâche dans le décor, lui aussi probablement. elle a les yeux cachés derrière des lunettes de star. c'est une 'madame', une queen on dirait. takumi la regarde. habitué à observer. les affaires mafieuses, ça vous crée un gars. vous le forge bien. alors il laisse ses yeux se poser sur elle. rien de sexuel, depuis megumi, celle morte à cause de lui, il n'avait plus regardé une femme comme ça. enfin, y'avait eu des filles dans son pieu mais il ne retenait pas les visages. trop de travail mental pour lui. trop douloureux aussi. et il la voit porter une clope à ses lèvres. le briquet prêt mais non. elle se stoppe. et ouais, mauvaise zone. rip la clope. ou pas. « ça vous arrête la zone non-fumeur ? » c'est sorti comme ça, sans pression. « vous êtes là à cause de la lettre ? » et il lui parle parce qu'ils sont seuls. solos dans cette merde, attendant que d'autres les rejoignent dans cette aventure bizarre.
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"keishi x megumi? im-po-ssible"
Mar 20 Déc - 0:47
les lunettes noires qui te cachent du monde, comme si tu étais prête à bluffer toute une table de poker. le sixième sens féminin qui capte les yeux observateurs, qui crame l'attention qui t'est portée. pourtant tu ne sembles pas réagir. tu t'en fous. du moins jusqu'à ce qu'on ne brise la glace, te lance une sorte de pic, rictus, challenge - whatever. tu lèves la tête vers cette même grande silhouette postée à quelques pas de toi, sous ce même abri-bus, justement dans la même attente. les noisettes qui jugent, réfléchissent à peine. ce gars avait sûrement parlé à la place de ton subconscient, ou du p'tit diable sur ton épaule. les mains qui dans un élan mécanique, spontané, évident, foutent le feu à leur petit rouleau de tabac avant de le porter aux lèvres. comme si tu étais une citoyenne modèle. étais-tu même japonaise, après toutes ces années? plus vraiment. le rouge avait coulé depuis, et le drap immaculé lui n'était plus qu'un chiffon sale.
mh. marmonnes-tu entre deux taffes, un attrape-pigeons apparemment.