Now, I repeat the fleeting days while I'm wandering aimlessly. My hopes for the hazy tomorrow won't reach because these thoughts are too hard...
I want to return to this time when I saw those dreams, which grow distant.
I want to go back to that place where the warm light is shining.
溺れて、溺れて。。。
溺れた。
METEMPSYCHOSIS
"In a MAZE without a END"
Lun 12 Déc - 11:04
Umehara Hikaru ft Toman [XOX]
YOUR IDENTITY
♡ âge: 19 ans ♡ date/lieu de naissance: 23/08/97 / Tokyo♡ nationalité et origines: Japonais/japonaises ♡ orientation sexuelle: Parce que c’est « anormal », tordu et sale, à l’instar de sa personne, peut-être –sûrement-, son univers ne gravite qu’autour des hommes ; ceux qu’il méprise et ceux qu’il rejette, ceux qu’il déteste et désire. Ceux qui devraient l’aimer ♡ études/métiers: Officiellement modèle photo pour l’une des entreprises paternelles / Officieusement prostitué envoyé par son paternel auprès de vieux pervers pour lui obtenir des contrats juteux : parce qu'il n'a pas d'autres utilités ♡ situation économique: Exécrablement riche ♡statut social: Célibataire ♡ groupe: Because I’m just an ANIMAL
-Si Hikaru fait office de modèle photo, ce n’est que par ce que son père a pris la décision de le placer dans ce milieu, véhiculant de la sorte une « image de marque » des Umehara. En dépit de son visage, le jeune homme n’a aucun atout justifiant cette profession. Sa croyance ayant été stoppée suite à son accident, il ne mesure qu’un mètre soixante. Ainsi, il porte constamment des compensés d’une dizaine de centimètres afin de pallier cela. Le contrat avec son agence stipule, curieusement, qu’il est interdit de le faire poser jambes nues.
-Hikaru est une véritable fashonista. La mode et l’habillement sont de véritables obsessions pour lui ; ses ongles eux-mêmes sont sujets à de très onéreuses séances de nail-art. L’adolescent ne peut s’empêcher de faire des achats compulsifs en masses, et ce en particulier lorsque quelque chose le tracasse. Cette passion est vraisemblablement la maigre compensation d’un vide qui l’obstrue.
-Hikaru a l’obligation de se rendre à l’hôpital tous les mois pour suivre son état de santé. Son cas est critique, d’autant plus au vue de son mode de vie et de sa profession. Sa santé est particulièrement fragile et les traitements qu’il doit suivre ont de nombreux effets secondaires ; il n’est pas rare qu’on lui annonce une énième opération, celles-ci étant particulièrement éprouvante pour son corps. En dépit de cela, Hikaru a une peur bleue des hôpitaux. Les choses aseptisées, ordonnées et rigoureusement organisées le mettent mal à l’aise, allant jusqu’à provoquer chez lui des réactions irrationnelles.
-Hikaru est psychologiquement instable. La pression que lui fait subir son père et les « missions » qu’il lui donne le plongent parfois dans un état de psychose totale. Ces chocs émotionnels ont peu à peu menés à une tendance à l’autodestruction : anorexie, scarification... Hikaru souffre de nombreuses phobies, dont la plus frappante est certainement l’autophobie : la peur de la solitude. Cela expliquerait, entre autre, son complexe de Cendrillon.
MY PERSONNALITY
Apprendre à se reconstruire. Apprendre à vivre ; à nouveau. Encore. Différemment. Car ce qui a été brisé une fois, ce qui éclaté en des millions de morceaux de verres, éparses et tranchants, ne peut être reconstruit à l’identique. Et il reste des fêlures. Il reste des brèches. Des balafres externes qui recouvrent son corps d’enfant : des cicatrices. Ignobles. Puis des balafres internes ; des plaies. A vif. Des plaies qui ne cicatrisent pas. Qui saignent. Et qui saignent encore.
Hikaru c’est un ange au sourire espiègle ; la candeur alliée à l’émerveillement perpétuel. Une moue timide et des fossettes de chérubin, un naturel d’enfant rêveur. Une maladresse attendrissante, une persévérance admirable. Son attitude se révèle toujours dynamique, enthousiaste : à croire que son monde est plus doux. Sa réalité plus belle. Il attise l’attachement, l’affection ; son côté fragile, tendre, fait naître la compassion. Hikaru est une personne charmante. En apparence.
Et puis, derrière le masque angélique, il y a la créature. Sous le vernis étincelant, il y a ce qui est brisé. Fissuré. Il y a le vice. Les cicatrices, la difformité. Hikaru, ce n’est rien de plus que l’instabilité, la rancœur et la jalousie. Le mépris et la haine. Le besoin, brut, de faire souffrir. Le plaisir de tordre, le plaisir de distordre ; à son image, celle de son esprit et son corps. Un sadisme compulsif. Un mal-être. Incompréhensible, irrépressible. La torture de vivre, la torture de survivre. Un enfer d’émotions incontrôlables, le besoin de faire payer. Le besoin de faire payer à tous. L’incapacité de se révolter. Le dégoût de sa propre faiblesse. Sa lâcheté.
Au final, Hikaru n’est qu’un enfant. Un enfant qui n’a pas su grandir dans un corps qui n’a pas pu grandir. Un enfant blessé qui, pour se conforter, blesse. Une fragilité, maladive. Une fragilité qui le tue. Des larmes muettes, un visage occulté. La volonté d’aimer, d’être aimé. Le besoin d’être accepté en dépit de tous ces vices. Ne pas avoir à marcher seul ; être soutenu.
DO YOU USE EMOJIS ?
décris-toi avec 5 emojis: essaie de nous raconter une histoire en 10 emojis max:
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tu reçois un sms d'une pote qui demande des conseils parce qu'elle est certaine que son petit-ami la trompe, que fais/dis-tu ? (Et c'est que maintenant que tu t'en rends compte ? Puis dans le genre je crois bien que t'es aussi une belle salope, je vois même pas comment tu peux t'en plaindre.) "Je suis sûr que tu te fais des idées ! Comment pourrait-il tromper une fille aussi parfaite que toi ?" quelqu'un te touche le cul, tu réagis comment ? Il a envie de vomir, de pleurer, mais il supporte. Il supporte en silence ; comme d'habitude. Il sait très bien que personne ne viendra l'aider : certaines prières ne seront jamais entendues classe par ordre de préférence ces boissons : vin, bière, whisky, café, thé, coca: café > thé > coca > vin > bière > whisky
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les chansons qui te représentent:METEMPSYCHOSIS TSUKI NO UTA NEMURENAI BOKU NO SHUMI TRAUMA les derniers emojis que tu as envoyés: si tu avais la possibilité de coucher avec la célébrité de ton choix, qui serait-ce ? Pour une fois qu'il aurait la possibilité de choisir ... personne.
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choisis un membre dans le qeel qui attire le plus ta curiosité: [url=profilmembre]pseudo[/url] montre la plus belle photo de toi:cheesecake !
INCUBUS / 夢魔 18 ans
Eh oui, diagnostiqué avec un fort dédoublement de la personnalité...et d'un complexe de Cendrillon aggravé .. me voilà de retour Après le masochisme, je dédie ce personnage au sadisme ~ soyez gentil avec bébé Ruru Et, évidemment, je reste chez les verts
« Ryô-chan ! Ne me laisses pas tout seul derrière, attends moi ! » Son ami ne l’écoutait déjà plus. Il s’était élancé dans la rue, le laissant sur le perron de la porte à lacer ses baskets dans une précipitation maladroite. C’était toujours comme ça. Ryôma partait toujours le premier ; toujours. Et lui...il se retrouvait toujours à devoir lui courir après. Tenter de le rattraper. A croire qu’il avait toujours un train de retard. Hikaru poussa un soupir, referma la porte derrière lui à toute hâte. Pas le temps de lacer sa deuxième chaussure ; il devait le rejoindre. Déjà, il percevait ses rires espiègles de l’autre côté de la rue. Cette situation amusait Ryôma ; il prenait tout comme un jeu, sur le ton de la rigolade. Ce qui le désespérait un peu. « Tu n’as qu’à te dépêcher un peu plus, Hikaru ! On va être en retard à l’entraînement à cause de toi !» L’interpellé bouda. Il allait lui montrer qu’il était capable de le rattraper ; des deux, il était le plus rapide –ce qui n’était visible que lorsqu’ils partaient en même temps. Ryôma allait voir qui finirait par se retrouver en retard. « C’est parce que tu pars toujours sans moi... » Son ami ne lui répondit que par un léger rire. Agacé, Hikaru accéléra le pas, traversa la route à grande foulée. Dans la précipitation, il ne fit pas attention à son lacet, marcha dessus. La chute lui égratigna les genoux. Il parvint cependant à retenir ses larmes puis se redressa faiblement sur le béton brûlant. Ryôma, de l’autre côté de la route, s’était enfin arrêté. « Hikaru ! » Il n’eut pas le temps de comprendre. La douleur sembla venir avant le choc ; elle lui coupa la jambe, explosa dans son corps partout à la fois. Puis il eut des sensations, brèves. Le visage de Ryôma qui se décomposait ; du bruit, du bruit qui lui crevait les tympans ; plus rien. Un calme assourdissant, une annihilation totale. Plus de son, plus d’image. Une douleur si forte qui l’arracha à la réalité.
C’était fou à quel point le monde pouvait changer si vite. C’était bête. Tellement bête. Lui qui avait toujours rêvé d’une échappatoire perdait pieds ; c’était –ironiquement, stupidement- le cas de le dire. Il pourrait remarcher : c’était un véritable miracle. L’incroyable richesse du père Umehara avait pu motiver l’arrivée d’urgence du meilleur chirurgien du pays. Les séquelles se révélaient, cependant, lourdes : sa croissance en serait affectée et, pire encore, son avenir de sportif compromis. Hikaru serait capable de remarcher, oui. C’était tout.
« C’est de ma faute ! C’est à cause de moi si... c’est moi qui... » Ryôma pleurait. Ryôma qui n’avait jamais versé une seule larme pleurait. Il se tenait à son chevet, le visage blême, terrifié. En pleurs. Son ami, celui qui avait toujours était un modèle de force, admiré de tous, pleurait comme un bébé ; il avait tout perdu de son habituelle confiance en lui. Et à tord. Ce n’était pas de sa faute. Hikaru le savait. Mais ces mots, ces mots que Ryôma attendait, il ne les prononça pas. Pourquoi devait-il être le seul brisé ? Le visage entravé par une multitude de bandages, il trouva la force de sourire. « Ne me laisse plus jamais derrière toi. Plus jamais. »
Hikaru avait rêvé de devenir un sportif ; il en avait le potentiel, les capacités. Il avait rêvé d’échapper à l’enfer familial, trop exigeant, trop riche, trop oppressant : à son père qui ne pensait qu’aux bénéfices, sa mère qu’à elle-même. Il en avait eu l’opportunité ; n’avait pas eu le temps de la saisir. En plein vol, on lui avait brisé les ailes. Coupé les jambes. Son existence, à douze ans à peine, fut ébranlée. Deux ans en fauteuil roulant, un an de rééducation intensive, deux ans pour parvenir à marcher à nouveau « correctement ». Sept ans de chirurgie régulière, répétitive. Sept ans de médicamentation perpétuelle. Un nombre qui s’allongerait en même temps que son existence. Un nombre aux lourdes séquelles, psychologiquement plus profondes qu’elles ne l’étaient physiquement. Il avait finalement été happé par l’abyme duquel il avait toujours souhaité s’enfuir. Il était venu s’ajouter à l’immense « propriété des Umehara ». Un pantin de plus à la solde de son propre père, car incapable de trouver de place à « l’extérieur ». Car inadapté. Inadaptable. Défaillant et brisé. Défectueux.
Mais dans cette chute, il se rassurait en y entraînant quelqu’un à sa suite.
Dernière édition par Umehara Hikaru le Sam 17 Déc - 14:22, édité 3 fois
Il vit dans un beau loft à Meguro avec sa squatteuse préférée : Nao ♥
emploi/études :
son père le force à faire des études de médecine, mais il a trouvé toute une bande de filles qui lui ont gentiment proposé de prendre tous les cours pour lui. De cette manière il peut profiter amplement de sa jeunesse et s'éclater avec son groupe.
Now, I repeat the fleeting days while I'm wandering aimlessly. My hopes for the hazy tomorrow won't reach because these thoughts are too hard...
I want to return to this time when I saw those dreams, which grow distant.
I want to go back to that place where the warm light is shining.
溺れて、溺れて。。。
溺れた。
METEMPSYCHOSIS
"In a MAZE without a END"
Sam 17 Déc - 14:27
Merci beaucoup ! Eh oui, j'aime les cas cliniques, c'est toujours plus intéressant à faire souffrir Et j'attendrai donc ton joli minois sur ma fiche de liens -je te garde toutes les places que tu veux -
chanteur qui se prostitue plus ou moins sur scène dans le bar du Belphégor. voyant aussi, parce qu'il dit pouvoir prévoir les choses. et il accepte le travail au noir pour compléter les mois. c'est déjà pas mal.
Sam 17 Déc - 18:55
Oh, rebienvenue par ici Je ne connais pas ce petit chou, mais c'est un adorable bébé ! J'ai hâte de voir comment il va évoluer dans tes sujets
Now, I repeat the fleeting days while I'm wandering aimlessly. My hopes for the hazy tomorrow won't reach because these thoughts are too hard...
I want to return to this time when I saw those dreams, which grow distant.
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溺れて、溺れて。。。
溺れた。
METEMPSYCHOSIS
"In a MAZE without a END"
Sam 17 Déc - 22:17
Merci Asuka ! Héhé, j'ai aussi hâte de voir de quelle façon vont se dérouler les choses même si je pense que ce sera plus une régression qu'une évolution
félicitations, tu viens d’être validé(e) chez les animal crossing sors ta pelle, ta canne à pêche et ton filet, parce qu’ils vont avoir besoin de ton aide pour entretenir la ville ! tu vas pouvoir rejoindre le flood des verts les aider à arracher toute les mauvaises herbes. a plusieurs, ça va plus vite ! tu peux commencer gérer ton personnage ! créer sa fiche de liens pour qu’il s’fasse plein de potes, lui trouver un petit nid douillet (à part si tu veux qu’il dorme sous les ponts et même créer ses réseaux sociaux ! téléphone, instagram… parce que nous on est d’la génération y tavu. tu pourras aussi créer tes scénarios, tes pré-liens, tout c’qui pourra t’aider à l’évolution de ton personnage… t'as juste à cliquer sur les petites icônes en dessous de ce message ultra barbant dont tu ne vois pas la fin i love you !
e&c, c’est ta nouvelle maison, t'es ici chez toi maintenant ! alors envole-toi, petit papillon ! et si tu as besoin de quoi que ce soit, tes maîtres admins, comme lori, seront toujours là pour toi. on te remercie d’avoir choisi e&c, en espérant que tu t'amuses comme un malade parmi nous !
CLOWN/PUÉRIL PAR MOMENT SOCIABLE QUAND TU VEUX BON BOSSEUR ENTREPRENANT EN CE QUI CONCERNE LE TRAVAIL OUVERT D'ESPRIT CHARISMATIQUE CRÉATIF AMICAL (DES FOIS) INTELLIGENT JOUEUR FOURBE/RUSÉ MOU DES FOIS CAFARDEUX DÉBAUCHÉ FRANC EXUBÉRANT OU DISCRET VULGAIRE BOFF ATTITUDE TROP VITE DÉSINTÉRESSÉ TROP CHAUD LAPIN OU TROP FROID CHARMEUR GAFFEUR HAUTAIN RAGEUX ANTICONFORMISTE INSOLENT PERSÉVÉRANT À EN DEVENIR TÉTU RATIONNEL PARFOIS SPIRITUEL APRÈS LA DÉFONCE TAQUIN VOIR À TENDANCE SADIQUE.
Parce que quand on est accro, même si ça fait mal... Parfois ça fait encore plus mal de décrocher.
C’est l’histoire d’un homme qui tombe d’un immeuble de 50 étages. Le mec, au fur et à mesure de sa chute, il se répète sans cesse pour se rassurer : « Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien... Jusqu’ici tout va bien. » Mais l’important, c’est pas la chute. C’est l’atterrissage.
LES ENFANTS OBJETS QUI NE VOULAIENT PAS ÊTRE MARIÉS