étudiante en illusions planétaires et vendeuse de richesses.
décore ton profil :
ALL I NEED IS LOVE
#MONONOKEPRINCESSAIN'THEARTLESS
AND THEN I SAW YOU
IN A DREAM RIGHT?
HEART BREAKER
DOLL MAKER
Mer 26 Oct - 18:39
nom prénom ft célébrité libre
YOUR IDENTITY
♡ âge: je le vois plus âgé que kiyo, genre environ cinq ans de différence ou plus (et ouais pas l’temps d’niaiser). ♡ date/lieu de naissance: libre. ♡ nationalité et origines: libres. ♡ orientation sexuelle: brunettesexuel. ♡ études/métiers: les études c'est derrière lui, il bosse déjà - libre. ♡ situation économique: libre. ♡statut social: célibaltringue.
❀ peut bosser pour son compte et être plein aux as comment n’être qu’un gars de la classe moyenne avec de grandes ambitions.
❀ téméraire, grand joueur (les femmes comme les jeux d’argent), manipulateur, irréfléchi, égoïste, (trop) confiant, “fais c’que j’dis mais pas c’que j’fais”. c’est qu’un petit aperçu d’alpha, le reste te revient de droit (comme son boule et mon cœur)(enfin, seulement si tu le tentes hein hein)
❀ avatar libre, feat. theo james, paul jason klein, kailum bolton, reece king, nolan gerard funk, mikus lasmanis, miles mcmillan... ou godfrey gao, seo kang joon, ji chang wook, mizushima hiro, darin blaine wilkens, kenta sakurai… ce ne sont que des suggestions! en vrai j'suis ouverte à toute proposition, donc que tu m'ramènes un black ou un roux, tout est possible
STORY TIME
histoire en freelance! alpha peut être nippon comme étranger, sachant que sa première rencontre avec kiyoko s’est faite ou aux états-unis ou sur tokyo (à vrai dire je t’attends pour en discuter pépère) il y a trois ans.
LINKS
mori kiyoko ft. byun jungha alpha, le genre de blaz qu’on tague sur les murs, qu’on inscrit sur sa veste en cuir, qu’on signe à la fin d’un petit freestyle. alpha, ou le pseudo que tout le monde a à la bouche, dans la rue comme dans la chambre. ces cinq lettres, tu les lui as aussi sortis, à kiyoko. au début elle n’a rien dit, mais ses yeux ont fini par en rire. une nippone aussi dopée que ces émissions cheloues d’son pays qu’il t’arrive de mater quand t’as rien à branler. certes incompréhensible, mais elle t’a captivée sans que t’aies rien demandé. t’avais l’sourire aux lèvres à chacune de ses conneries, et son corps printanier t’donnait de ses envies de baiser. et tu t’es dis, cool, une autre poupée pour remplacer la dernière. mais elle n’était pas comme les autres; sans retenue, sans gêne, sans détour, vous faisiez l’amour dès que ça vous chantait. et t’as commencé à te pointer chez elle sans la prévenir, l’inviter au resto, l’emmener en virée; t’as commencé à vouloir t’ancrer dans sa poitrine sans penser que tu l’avais déjà dans le sang. c’est même elle qui s’est décidée et qui t’a demandée d’être son copain: le refus radical pour lui apprendre que ce sont les hommes qui prennent les initiatives. le “moi” s’est alors changé en “nous”, et tu lui as tout inculqué. si docile et pourtant si terrible. un jeu qui prit fin à la minute où tu recommenças à coucher à gauche et à droite, parce que ça t’avait manqué. tu taisais évidemment tout, parce qu’au fond tu n’voulais pas qu’elle se détache de toi. la vérité a pourtant éclaté par une autre, jalouse de tes antécédents, envieuse de ton présent. l’excuse que tu lui as sortie? baby girl l’amour ça s’explique pas. j’sais pas c’qui m’a pris: y’en avait sûrement trop. tu es celui qui l’a créée la parfaite. si sensible et pourtant si éloignée de tout. le corps plein de papillons et le coeur vide de sens. armure malsaine, bulle vicieuse. tu étais celui qui avait commencé cette existence d’innocente débauche. et ce n’est que trois ans plus tard que tu te rends compte que cette fille, c’était la poupée qui les avait toutes remplacées.